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 Astrid • She's a lady

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Invité Anonymous
MessageSujet: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 0:53



Astrid E. Prochazka
I will not set fire to myself to keep you warm

______


La base

Nom : Prochazka.
Prénoms : Astrid Ealisaid.
Age : 36 ans.
Statut civil : Scientifique.
Métier : Ingénieure.
Sexualité et statut : Asexuelle biromantique, célibataire et décidée à le rester.
Lieu d'habitation : Un appartement assez confortable et spacieux pour deux, dans le Quartier Ouest.
Description physique :

Devant vous marche une femme. Talons hauts, longue chevelure blonde, jupe crayon et tailleur dessinant sa silhouette… Pas de doute, même de dos, celle-ci correspond aux critères généralement attribués à la féminité. Approchez-vous, observez son visage, et vous verrez qu'il est à l'avenant. Des traits doux soulignés par des yeux bleus, un maquillage léger mais présent, on se croirait face à une publicité d'il y a cinquante ans. Approchez-vous mieux, et vous verrez les premières rides qui apparaissent quand elle plisse les yeux, quand elle sourit, les premiers cheveux gris qui viennent parsemer sa chevelure. La Dame commence à n'être plus tout à fait jeune, sans être tout à fait vieille pour autant, et a décidé de ne plus le cacher.



Le caractère

Quand on rencontre Astrid pour la première fois, on se dit qu'on en aura vite fait le tour. Une trentenaire issue d'une bonne famille, au sourire doux, toujours aimable, jamais un mot plus haut que l'autre, modérément brillante, sans jamais en faire étalage… Rien de bien intéressant, rien de bien foudroyant, un parfait exemplaire de ces femmes qui ont grandi dans une bonne famille, qui ont reçu une bonne éducation, appris à se tenir, à être de parfaites futures femmes au foyer, à s'occuper d'un mari. Elle l'a fait, d'ailleurs, pendant plusieurs années. Cuisine, ménage, tenir la maison, elle sait faire, y excelle, a gardé ces habitudes, même maintenant qu'elle vit seule. Toujours propre sur elle, maquillage et cheveux impeccable, vraiment, on pourrait passer à côté sans y voir plus qu'une jolie femme un peu plate, fade, inintéressante. Même dans les discussions à propos de la situation actuelle, on a l'impression qu'il n'y a rien de spécial chez elle. Elle suppose que le gouvernement fait plutôt bien son travail, puisque tout le monde, son monde en tout cas, est protégé, sûr, tranquille. Evidemment, elle vient d'un milieu aisé, ceux où la générosité du Gouvernement fonctionne vraiment. Les Irréels la rende curieuse, en tout cas c'est ce qu'elle dit, en tant qu'ingénieure, elle aimerait en savoir plus, mais ce n'est pas son domaine. Ce qu'elle ne dit pas, c'est que sa curiosité a été poussé loin, qu'elle en a créé une, qu'elle vit avec elle et que son opinion rejoint celle des groupes qui disent qu'il faut leur donner des droits en tant qu'êtres humains, mais qu'en attendant, elle prétend au reste du monde que Dakota est humaine, juste une jeune fille pauvre à qui elle sous-loue une chambre.
Ça, c'est ce qu'on pense d'elle quand on ne la connaît pas bien, c'est ce à quoi elle ressemble le plus souvent. Il y a ça, et puis il y a ses coups de gueule. Des mots grossiers dans une bouche qu'on imaginait bien plus raffinée, un ton qui monte, qui vous ramène à votre place dès que vous commencez à outrepasser ses droits. Parce qu'il y a quelques années, elle s'est rendue compte que tout ça, cette politesse, ce raffinement, ce n'était pas elle, même si les règles sont bien intégrées, bien intériorisées. Alors maintenant, elle laisse tout ça sortir. Elle veut jurer ? Elle jure. Ce type qui tente pour la cinquantième fois de lui faire des avances alors qu'elle lui a clairement dit qu'elle n'était pas intéressée ? Qu'il aille se faire voir. Qu'ils aillent tous se faire voir, ceux qui voudraient qu'elle plie sa vie à leurs envies. Elle ne veut plus, plus maintenant, elle a trop vécu en se pliant aux désirs de sa famille, de son mari, maintenant c'est pour elle qu'elle agit. C'est pour elle qu'elle a travaillé pour pouvoir reprendre ses études, pour elle-même qu'elle a obtenu son deuxième diplôme à plus de trente ans. Elle se reprend en main et y va d'un pas décidé, et ne laisse rien l'abattre. Plus maintenant. Si elle veut quelque chose, elle fait ce qu'il faut pour l'obtenir, se prend en main si ça ne fonctionne pas, recommence, n'abandonne plus lorsqu'on lui dit que, de toute façon, une femme comme elle, belle et riche, n'a pas à s'inquiéter de tout ça et ferait mieux de se trouver un mari. Non. Tout ça, Astrid n'en veut plus, un mari, elle a déjà donné, ça ne lui a pas réussi. Même ses parents, elle leur a presque tourné le dos, laisse tomber leurs règles, peu à peu, ne garde que celles qui lui conviennent vraiment, celle qui lui procurent un vrai bien-être et pas seulement le vague confort d'une vie sans écueils, conventionnelle. Bien sûr, cela peut paraître égoïste, égocentrique, bien sûr, cela l'est, quelque part. Mais elle en est consciente et s'en fiche. Pendant des années, elle a été généreuse, a donné de sa personne, s'est refusé les choses qui lui faisaient plaisir et en a accepté d'autres imposées par le devoir, mais plus maintenant. Maintenant elle revendique son égoïsme, revendique son droit à s'occuper d'elle et d'elle seule.


L'histoire

L'histoire commence en douceur. Une naissance, dans une famille aisée, dans le quartier Est, cela veut tout dire. Ce n'est pas le Centre, bien sûr, on ne donne pas dans la haute élite, chez le Prochazka, mais on a largement de quoi ne pas s'inquiéter pour les années à venir, c'est certain. Le bébé est une fille, une petite Astrid qui ravit ses parents, on pourra en faire une parfaite héritière, sans doute la marier à un bon jeune homme d'une bonne famille, elle augmentera leur fortune et fera leur fierté. C'est dans cette optique que se met en place l'éducation de la petite fille, puis de l'adolescente : elle doit être douce, polie, ne pas se faire remarquer, savoir tenir une maison, être prête à devenir une parfaite femme au foyer, un joyau qui viendra rehausser la gloire de son mari quand il l'emmènera dans les réceptions huppées où il sera très certainement convié. Et elle ne les déçoit pas, intériorise toutes ces règles de féminité sans même se rendre compte qu'elles en sont, prend soin d'elle mais pas trop, souriante, mais pas trop, intelligente, mais pas trop, elle devient l'archétype de cette poupée que l'on trimballe dans les réceptions, celle qui rehausse la gloire de celui qui l'emmène, sans non plus lui voler la vedette ni lui faire de l'ombre. La parfaite potiche, en extérieur en tout cas. A l'intérieur, elle se rend bien compte, parfois, que quelque chose ne va pas. Que si elle était un homme, sans doute, ses parents ne lui refuseraient pas cette participation au club de science pendant le cycle tertiaire, qu'on ne la reprendrait pas aussi durement lorsqu'elle laisse échapper un juron ou un mot plus haut que les autres… Et puis elle oublie ses interrogations. Elle doit faire ce qu'on lui demande, faire plaisir à ses parents, ne pas poser de question, obéir et être une gentille fille. Il y a pourtant un début de rébellion, l'année de ses dix-sept ans, juste après avoir obtenu son diplôme du tertiaire. En attendant qu'on lui trouve un mari, ses parents veulent qu'elle continue ses études, une fille cultivée a plus de chances de faire honneur à son époux en société. La littérature sera très bien, ce n'est pas une discipline trop sérieuse, et puis lire des livres, pour une fille, c'est facile. La décision est prise, ils veulent l'envoyer étudier les lettres. Sauf qu'elle refuse. Les lettres ne l'intéressent pas, cette matière n'a jamais fait partie de ses favorites, et quand bien même ce ne serait que pour le bon-plaisir de ce futur époux auquel on la prépare depuis toute petite, elle n'a pas envie. Astrid, ce qu'elle veut étudier, c'est l'ingénierie, elle aime comprendre comment fonctionnent toutes ces machines autour d'elle, elle veut en créer, les améliorer. Ce n'est pas ce qu'on attend d'une jeune fille de bonne famille, mais elle s'en fiche, c'est ce qu'elle veut faire, elle. C'est la première fois qu'elle réclame quelque chose pour elle-même plutôt que de gentiment faire ce qu'on lui demande, et, à se grande surprise, ses parents cèdent. Bien sûr, il faut pour cela de longues discussions, pendant des semaines, tous les jours, mais ils cèdent. Elle a gagné une première bataille, elle a gagné le droit d'étudier ce qui lui plaît. Et cela lui réussit, ses notes sont bonnes, elle obtient facilement le diplôme du premier cycle, et se prépare à continuer, puisque de toute façon ses parents ont plus que les moyens, et ne peuvent plus la faire changer d'avis maintenant.

Et puis, l'année de ses vingt-deux ans, elle fait une rencontre. Un jeune homme bien sous tous rapport, lui aussi issu d'une famille aisée, bien élevé, agréable, drôle… Il lui fait des avances, elle ne résiste pas très longtemps, les voilà ensemble. Globalement, la relation est saine, stable, si bien qu'il ne faut pas beaucoup plus de quelques mois avant que, du côté d'Astrid, on ne commence à avancer des hypothèses, suggérer un mariage, maintenant qu'elle s'est trouvé un homme bien comme il faut. Bien entendu, une fois mariée, elle n'aura plus besoin de suivre ces épuisantes études, après tout, pourquoi une bonne femme au foyer aurait-elle besoin d'un diplôme ? C'est ridicule, il vaudra mieux qu'elle reste à la maison pour s'occuper de son époux qui, lui, est promis à un brillant avenir, ils se sont rencontré sur les bancs de l'université, il sera surement un excellent ingénieur. Bien sûr, Astrid résiste un peu, au début, puis, lorsqu'il lui fait sa demande, comme si de son côté aussi la famille y était allée de ses petites suggestions, elle abandonne. Après tout, ils ont sans doute raison, il vaut mieux qu'elle reste à la maison, à faire le ménage, lui préparer des petits plats et aménager l'appartement pour une vie à deux plutôt que de trimer pour un diplôme qui ne lui servirait à rien puisque, même si elle commençait à travailler, il faudrait bien vite qu'elle arrête, pour s'occuper des enfants, vous comprenez. D'ailleurs, ces enfants tardent à venir. On dirait presque qu'elle le fait exprès, à n'être jamais très enthousiaste à l'idée de rejoindre son mari sous les draps. Elle l'aime pourtant, non ? Tout le reste ne la dérange pas, alors pourquoi est-ce qu'elle ne peut pas faire ce petit effort ? C'est son rôle, sa fonction régalienne, vont jusqu'à dire certains. Elle pourrait faire mieux que de juste subir passivement quand il a envie d'elle, de rechigner, de ne s'adonner à ces activités que parce qu'il le faut bien, montrer un peu plus d'enthousiasme, que diable ! Mais non, elle n'y arrive pas. Elle n'aime pas ça, c'est tout. Et petit à petit, elle commence à se lasser du reste, de ne vivre que pour lui, de s'occuper de la maison pour qu'elle soit agréable quand lui revient, de l'accompagner en soirée pour le faire briller lui… Il n'y en a que pour lui, et elle, elle étouffe. Elle étouffe dans cette vie, parce qu'elle ne l'a pas choisie. Elle étouffe dans cette vie, pour laquelle elle a dû renoncer à la seule chose qui l'ait vraiment passionnée. Elle étouffe, elle étouffe, elle étouffe.

Jusqu'au jour où elle éclate. Six ans qu'elle ne vit que pour lui, vingt-neuf ans qu'elle ne vit même pas pour elle-même, elle éclate et envoie tout ça balader. Une procédure de divorce sur la table de la cuisine, un sac vite emballé avec les rares possessions auxquelles elle tienne vraiment, et elle se barre. Pas chez ses parents, elle ne veut pas les voir, et ils veulent la voir de retour avec lui. Elle, elle n'en peut plus, elle veut vivre pour elle-même. Ce qu'elle veut, c'est reprendre ses études, terminer ce diplôme qui reste comme une porte ouverte, qui a un goût d'inachevé. Ses parents ne veulent pas payer, comptent utiliser les moyens financiers comme une pression pour qu'elle retourne à celle qu'elle était avant ? Tant pis pour eux, à partir de maintenant ils ne feront plus que la croiser. Elle a déjà un premier diplôme, largement de quoi se trouver un travail d'assistante quelque part. Ce n'est pas encore ce dont elle rêve, mais c'est un premier pas, à vingt-neuf ans, enfin, elle commence à vivre, pas pour les autres. Elle vit. Un petit appartement, un petit job, de petites économies, et pas à pas, la voilà qui se retrouve avec un pécule suffisant. A trente-deux ans, elle se retrouve sur les bancs de l'université, avec ces jeunes dont la vie, comme la sienne, commence à peine. Alors bien sûr, elle a perdu deux ans, pendant ces six années de mariage où la réflexion la plus poussée qu'on lui ait demandée portait sur la couleur du salon dont on devait refaire la peinture, ses connaissances se sont flétries et il lui faut recommencer en première année. Mais qu'à cela ne tienne. Comparé à ce qu'elle a déjà gâché pour d'autres, deux ans de plus ou de moins ne sont rien, surtout maintenant qu'elle fait ce qui la passionne. Bien sûr, elle garde un travail à côté, même si elle a des économies, les études ne sont pas gratuites. Mais bientôt, elle n'en a même plus besoin. Son père qui décède, un héritage qui lui revient de droit, même si sa mère aurait voulu en priver cette mauvaise graine qui les a trahi, et la voilà de nouveau florissante. Elle déménage, trouve un appartement plus grand, quitte son travail et se concentre sur ses études. C'est sans étonnement mais avec fierté qu'elle obtient son diplôme. Elle a travaillé dur pour l'obtenir, elle sait qu'elle le mérite, et qu'il signifie pour elle le début officiel de sa nouvelle vie, de sa vie tout court, en fait.

Les politiques paternalistes du Gouvernement ont du bon, et c'est sans problème qu'elle trouve un poste d'ingénieure dans une des usines qui gèrent les trains. Ses études réussies, le métier de ses rêves enfin obtenu, son autonomie toute neuve qu'elle commence à ressentir et apprécier… Il ne lui manque qu'un peu de compagnie, mais les gens l'ennuient, à toujours vouloir la remettre dans le droit chemin, la remettre à sa place de femme, lui dire, même par des conseils ingénus, comment mener sa vie. Ce qu'il lui faudrait, sans doute, c'est quelqu'un qui lui ressemble, quelqu'un qu'elle choisirait… Et puis, il y a ces rumeurs, de plus en plus forts, sur l'Illuvis, sur les Irréels, sur la manière dont on peut désormais, moyennant finance, créer un être humain, ou du moins sa semblance. Alors pourquoi pas ? Elle a les moyens, elle a mérité un cadeau qu'elle se ferait à elle-même… Cela ressemble à un caprice, c'en est sans doute un, elle s'en fiche, ne souhaite rendre de compte à personne. Elle prend contact avec une de ces cliniques qui pratiquent illégalement, une pas trop louche, un qui, à sa mesure, a une bonne réputation. Et, sans même un regret, se lance dans l'opération. Mais au moment d'imaginer la personne qu'elle doit créer, il y a un problème. Elle n'y arrive, n'y a sans doute pas assez réfléchi, n'a pas d'idée suffisamment précise, et, dans son esprit, ce n'est pas tout à fait ce qu'elle souhaitait qui se matérialise. Mais qu'est-ce qu'elle souhaitait, au fond ? Pas ça, sans doute. Elle ne sait pas vraiment. Bien sûr, elle pourrait se débarrasser de cette Irréelle défectueuse, mais n'en a pas vraiment envie. Quelque chose, en elle, lui parle. Un nom ? Il lui faut un nom ? Même ça, elle n'y avait pas assez réfléchi. Ce sera Dakota. Et tant pis si elle est ratée. Tant pis si elle l'énerve, parfois, souvent, à être trop… Trop comme elle aurait voulu être. Astrid la ramène chez elle, lui laisse la chambre d'amis, ment un peu, s'arrange avec une connaissance de connaissance pour lui obtenir de faux papiers, la fait passer pour une jeune fille pauvre d'Alrun à qui elle sous-loue la pièce, lui trouve un poste en entreprise pour éviter que l'autre n'étouffe, à rester enfermée chez elle. Elle sait ce que c'est, de rester enfermée quelque part en attendant que l'autre rentre, et ne lui souhaite pas ça. Et maintenant ? Maintenant elle vit, savoure, s'engueule avec son Irréelle, s'occupe des chats que Dakota rapporte en permanence de la rue. Elle vit.



Et sinon?

Pseudo : Khargaotte
Âge : 18 ans.
Personnage sur l'avatar : Fem!France, de Axis Power Hetalia.
Comment as-tu connu le forum : Dans un temps fort fort lointain, un groupe de membres d'un gros forum l'a quitté et a fondé le sien. On m'a donné le lien et, avec presque deux ans de retard, me voilà.
Une dernière chose à dire ? Je vous aime. Et pardon. C'est une mauvaise habitude chez moi, je crois que je me suis laissée emporter par l'histoire, donc c'est un peu long.

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Lyall Koïlir Date d'inscription : 20/02/2013 Messages : 781
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Habitation : Quartier Nord, Fondation Rhea Silva
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Lyall Koïlir
Irréel
MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 1:59

Coucouuuuuuuuuuuuuuuuuu 8D

Bon alors, première passe, c'est une super fiche !
J'aime beaucoup ce personnage et j'ai hâte de lire la fiche de Dakota du coup !

Alors j'ai juste deux minuscules points :

"on se croirait face à une publicité des années cinquante."
Alors je suis d'accord, mais il faudrait peut-être préciser les années 1150 du coup, pour un soucis de ne pas s'emmêler les pinceaux ... X)

et enfin, ce n'est pas "ternaires" mais "tertiaires"

Autrement dit, ce sont des détails, rien de bien méchant, c'est super agréable de voir notre contexte compris directement ♥

C'EST TOUT 8)

J'attends donc de possibles remarques d'une de mes collègues au cas où j'aurais loupé quelque chose, et/ou son aval pour la validation, mais sinon pour ma part je valide ...


Astrid aurait GRAVE intéressé mon Victor, jusqu'à ce que dans ma tête ça fasse "no seeeeex" ... Damnit !
Alors si jamais d'aventure tu veux mettre une bâche à un type qui a des chevilles comme des boules de bowling et qui se la raconte, n'hésite pas à le demander 8D

o/ à très vite !!!!
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Cyrius Berkam Date d'inscription : 20/02/2013 Messages : 2340
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Métier : Retraité forcé.
Humeur : Tendu & harassé
Cyrius Berkam
Réel
MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 3:10

Rien d'autre à dire concernant les petites erreurs de la fiche et que Lyall a bien pointées !

C'est une fiche superbe que tu nous as pondue là ! ♥
Du bonheur à lire >w<

Cela va être un plaisir de te voir jouer ce perso èwé ♥

*fonce lire la fiche de Dakota*
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Invité Anonymous
MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 12:03

C'est tout corrigéééé ! Pardon pardon pour les petites fautes ;;
(et comme je suis une gentille, je vous évite les recherches, j'ai remplacé "des années cinquante" par "d'il y a cinquante ans", et j'ai rajouté un tout petit bout sur les faux-papiers vu qu'il y avait eu une remarque chez Dakota, du coup ça donne "Astrid la ramène chez elle, lui laisse la chambre d'amis, ment un peu, s'arrange avec une connaissance de connaissance pour lui obtenir de faux papiers, la fait passer pour une jeune fille pauvre d'Alrun à qui elle sous-loue la pièce, lui trouve un poste en entreprise pour éviter que l'autre n'étouffe, à rester enfermée chez elle.")

Plein d'amour sur vous, vous m'avez manqué <3
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Lyall Koïlir Date d'inscription : 20/02/2013 Messages : 781
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Lyall Koïlir
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MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 12:13

Nikel !

Bon ben voilà, plus rien à dire, c'est parfait !

Re bienvenue parmi nous, on avait hâte de vous retrouver !!

Et pour ta part, bienvenue chez les Gris ! 83
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Cyrius Berkam Date d'inscription : 20/02/2013 Messages : 2340
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Cyrius Berkam
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MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyLun 28 Avr - 13:45

Bravo pour ta validation \o/

*renvoie de l'amour parce que c'est cool* =W=
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Invité Anonymous
MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady EmptyDim 4 Mai - 21:41

Quel beau duo avec Dakota, ça promet d'être explosif :)
Très belle fiche également, hâte de lire vos rps à Dakota et toi !  lolface 
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MessageSujet: Re: Astrid • She's a lady   Astrid • She's a lady Empty

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Astrid • She's a lady

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