Charity Ruth LeBrown
Suis-moi je te fuis, Fuis-moi se sera tout aussi bien.
Ce que tout le monde sait
Nom : LeBrown Prénom(s) : Charity Ruth Age apparent : 28 ans ? Non ? Plus ? Y a pas moyen non... Age réel : 28 ans Statut civil : Réel Métier : Propriétaire d'une épicerie Sexualité et statut:Hétéro et future mère célibataire Lieu d'habitation : Quartier Est dans un duplex avec deux chambres au-dessus de son épicerie.
| Tu la vois maintenant ? : ♣ Ce à quoi elle ressemble ♣
Elle n'est pas très grande ni très petite d'ailleurs elle rentre dans la moyenne (1m63) et possède des rondeurs agréables accentuer par sa grossesse déjà bien avancée. Ses cheveux d'un roux intense sont raides et assez longs pour lui arrivé au bas des fesses, elle a la peau laiteuse et ses pupilles sont d'un noir profond qui au soleil prennent une teinte verte émeraude. Vestimentairement parlant elle est de nature coquette et aime se mettre en valeur sans pour autant être moulé dans une robe près du corps, mais dans sa condition elle se contente de vêtement ample et de chaussure confortable, c'est qu'être enceinte n'est pas une mince affaire.
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Le caractère fait la personne.
♣ Comment je pense ♣
Je suis de nature joviale, je souris à tout le monde et je me garde de commenter le choix des autres, j'ai du mal à dire ce qu'il y a à dire lors d'un règlement de compte résultats je finis par devoir m'excuser et attendre que l'on me pardonne alors j'évite au mieux les problèmes et mal entendu. J'ai aussi du mal avec les hommes d'un point de vue aussi bien social que relationnel je bloque toujours sur ce que me disait ma mère «un homme pense d'abord avec ses testicules avant d'utiliser son cerveau.» Conclusion j'ai une vision plutot .. Grossière des hommes : sale, obsédé et bougre bien sur souvent j'ai été agréablement surprise par eux... surtout par
lui.
Parfois je me laissais à aller boire un verre ou deux dans un bar en début de soirée quand aucun bonhomme n'était là et je finissais toujours de la même facon : chez ma chère gardienne qui me répétait chaque matins «Tu d'vrais calmé sur la bouteille tu tiens mal ma pauvre.» Mais c'était une façon de m'amuser n'ayant plus d'amis dans les environs, tous avaient déménagé dans d'autres quartiers ou étaient des bourreaux du travail voir les deux alors seule derrière ma caisse je traînais dehors jusqu'à maintenant, je me contente des cours prénataux du soir et des soirées tricot et baby shower avec les autres futures mamans. J'aime les enfants, j'en suis gaga, je ne trouve rien de plus beau qu'un nourrisson dans une combinaison d'ourson, je bave sur les vitrine de matériel pour bébé et me sens comme aux anges lorsque je passe dans un rayon consacré aux poussettes et aux vêtements.
J'ai plutot pitié des Irréels, je ne suis pas une pro-Irréels oh non loin de là seulement que je trouve sa triste de les avoir lâché là comme des rats dans un labyrinthe pour les observer, ils me donnent l'impression d'enfants qui ont grandi sans vivre les joies de l'enfance et qui connaissent tout et rien à la fois bien que certains soient presque plus vivant que d'autres.
Le gouvernement lui : Je n'ai rien contre, ils font leur boulot assurent notre sécurité bien que parfois j'ai l'impression que.. et bien qu'ils nous prennent pour des légumes, comme ci on ne savait pas vivre de nous même enfin quand on en voit certains on se demande si ce n'est pas mieux ainsi, mais je ne veux pas jouer la mauvaise plante ils prennent en compte notre bien-être et cherche a nous offrir une vie belle et longue au possible rien de bien méchant.
L'histoire nous dit ce que l'on sait/peut ou non faire.
♣ Ce que j'ai vu ♣
Enfant d'un couple de commerçants j'ai eu une belle enfance ma mère avait des difficultés à tomber enceinte et a mené une grossesse à terme alors je suis fille unique et à ma naissance j'ai été couverte d'amour et de mots doux de quoi rendre un bambin jovial et heureux. J'étais curieuse, dès la primaires je m'intéressais aux mathématiques et aux matières littéraires, n'étais pas très bonne en histoire et dans la moyenne en éducation civique j'étais à la traîne en sport ma bête noire jusqu'au tertiaire. Mes années de secondaires mon permis d'étudier les sciences économiques et sociale où j'excellais sans trop de mal, je n'étais pas une tête, mais la réflexion était mon truc à moi. J'avais souvent des douleurs au niveau du bas ventre parfois à gauche parfois à droite et puis mes cycles étaient irréguliers, mais je ne m'en souciais pas pensant que c'était une chose normale à se passage de ma vie. À la fin du secondaire j'ai choisis la voix du tertiaire professionnelle voulant reprendre l'épicerie familiale au plus vite, mes parents prenaient de l'âge et j'aimais le contact avec les personnes, l'alternance cours-entreprise me convenait et je choisi d'apprendre des compétences supplémentaires les trois années précédant ma majorité cette fois je pris un domaine manuel : la pâtisserie, je n'avais pas à changer de quartier et je découvrais une autre façon d'être proche des autres. Mes diplômes en poche et des plans d'avenir plein l'esprit je repris l'épicerie familiale achetant le duplex juste au-dessus dans la foulée permettant ainsi à mes parents de prendre leur retraite et prenant mon indépendance à l'occasion. Mes cycles restaient irréguliers et mes premiers rapport sexuel étaient douloureux même avec une précaution parfois ridicule.
Les parents ne sont pas éternels certains nous suivent jusqu'à notre demi-siècle tandis que d'autres nous quittent avant bien trop fatiguer du monde, c'est le cas de mes parents, mon père nous a quitté à l'approche de son soixante-cinquième anniversaire d'un arrêt cardiaque dans son sommeil, ma mère m'a d'abord appeler et je lui ai littéralement ordonné d'appeler les urgences et il faut croire que cette panique a coûté la vie a mon père, car une fois à l'hopital il l'ont réanimé, mais il nous a quitté a l'aube. J'ai dû organisé les funérailles seule ma mère se morfondait et je me sentais tout aussi fautif, mais je devait tenir pour deux alors j'ai invité tout nos proches venu d'Alrun et les amis ainsi que les clients de longue date qui le connaissait bien après ça je n'ai plus revu mes oncles et tantes. Les amis de mes parents passaient souvent au magasin discuter et faire leurs emplettes demandant après ma mère qui n'était âgée que d'une cinquantaine d'années. J'étais retourné a la maison familiale pour la veillée mais je n'ai pas su tenir ma promesse elle c'est donner la mort comme une adolescente dépressive : les poignets ouverts au possible dans un bain rougit par son sang, j'ai d'abord cru qu'elle se détendait et puis les heures qui suivirent me firent comprendre que quelque chose clocher alors j'ai appelé les pompiers qui ne se sont pas gêner pour enfoncer la porte, j'ai perdu connaissance quand je l'ai vu. J'ai cherché un emplacement pas trop loin de celui de mon père avant d'apprendre qu'elle en avait déjà acheté un tout près cette fois il n'y avait que moi je me sentais trop minable pour conviée des gens a ça, je ne suis plus jamais retourner la-bas même pour changer les fleurs je ne voulais plus voir ma mère qui m'avait laissée avec deux deuils sans fin.
Je commençais à avoir des saignements soudains et des sensations de pesanteur qui me mirent en alerte et je me résolus à voir un médecin qui m'apprit que j'avais des kystes ovariens d'origine organiques depuis quatre ans, depuis la fin de mon secondaire. Il m'expliqua que ses kystes rendaient l'ovaire touché malade et rendaient les chances de grossesse moins importantes, mais pas impossible enfin c'est ce que j'ai compris alors je me suis fait opéré et retirer les kystes, mais je n'étais pas sorti de l'auberge, j'ai revu mon médecin un mois après, car je n'avais plus mes règles et aucun compagnon pour tomber enceinte il m'assura que ce n'était que provisoire qu'il me fallait du repos pour finalement m'annonçait cinq mois plus tard, le jour de mon anniversaire que j'étais atteinte d'insuffisance ovarienne précoce ou pour le refaire en français : j'étais ménopause avant l'âge enfin presque mes chances d'être enceinte étaient à présent réduite à quelques années deux ans max.
Ce jour la j'étais en colère contre lui, contre mon corps, je n'ai jamais été aussi en colère avant et après ce jour, j'ai hurlé retourner le bureau du bon monsieur et me suis enfermer chez moi ruminant avant de fondre en larme et de partir me réfugeait au bar du coin tard dans la nuit, j'ai marché en tirant la tronche jusqu'au trou ou j'ai bu comme jamais, mais ce n'étais pas assez ce soir la j'ai changé de bar à plusieurs reprises avant de
lui rentrait dedans. Il était grand ça j'en suis sure et il sentait fort, très fort, la sueur et le musc avec un arrière fond de savon bon marché, il avait une barbe de trois jours et semblait blasé qu'un petit bout de lard roux lui fonce dedans, je lui avais tenu tête et dans un sursaut ivre lui avais demandé de me prendre et d'y mettre tout ce qu'il avait pour me faire un gosse mot pour mot. Il avait d'abord rit à gorge déployé et j'avais trouvé ça moche, je l'ai trouvé moche puis il m'avait traîné derrière les poubelles et j'avais refusé, mais il avait déjà remonté ma jupe et coller contre le mur, c'était douloureux par mon absence de désir et une fois fini je m'étais habillé sans un mot dos à lui.
«-
Alors ? Qu'il m'avait demandé essoufflé comme un boeuf.
-
Demain à 22h devant le bar on ira chez moi cette fois, Je ne suis pas une femme de petite vertue. Lui avais-je répondu en partant.»
Et il était venu, au départ je lui bandais les yeux parce que je ne voulais pas de lui en bas de chez moi puis j'ai arrêté, je me couchais sur le lit écartais les jambes et le laisser faire fixant le plafond, ne voulant pas croiser son regard ne bougeant jamais et cela il ne l'acceptait pas.
«-
T'es mourante ou quoi ? Avait-il explosé en se redressant alors que je me levais mollement du lit pour remettre mes vêtements.
-
Non. Lui repondis-je sans la moindre émotion.
-
Alors, pourquoi tu fais le légume quand je te prends ? Pourquoi t'évites mon regard comme ça ? Merde un gamin ça se fait pas seul ! Hurla-t-il en se levant pour aller à la grande fenêtre son berlingot encore dressé.
Si tu voulais un donneur de sperme suffisait de le dire j'taurais fais un pot et j'taurais même donnais la pipette pour que tu te fourres seule ! Il c'était retourné face à moi assise et immobile sur le lit le regard baisser et les larmes aux yeux.
Désolé j'crois que je suis pas assez bien pour madame. Il mit son jean délavé, passa sa veste et mit ses pompes avant de sortir en claquant la porte.
-
Excuse-moi.»
J'ai dormi dans son t-shirt ce soir là, il avait oublié comme chaque soir depuis qu'il venait chez moi, je retrouvais ses hauts les lavais, repassais et rangais sur ma commode bien en évidence, mais il les laissait la et souvent piocher dedans. J'ai eu peur de plus le voir après ça, mais le matin même il est revenu je dormais et je suis venu lui ouvrir en tirant la tronche.
«-
Bonjour à toi aussi LeBrown. Joli t-shirt.-
Comment tu-
Ta sonnette y a ton nom et puis le chemin est facile à mémoriser.»
Il avait déjeuné avec moi et cette fois-ci lorsqu'il m'a allongé sur la table à manger j'ai eu de l'attirance et du désir pour lui juste en le regardant dans les yeux et en touchant sa joue. Les fois suivantes étaient tout aussi plaisantes c'est moins une tache à faire et plus un moment ou il venait pour moi. On avait conclu que une fois enceinte on ne se verrait plus.
J'ai eu des nausées trois mois après et une visite tendu chez le docteur un mois plus tard me fit comprendre que c'était une fausse alerte, j'ai couru jusqu'au bar le soir même encore dans un de ses t-shirt et un short en toile sous la pluie, j'ai atterri devant le bar et il était là enfin il partait et j'ai hurlé en sa direction, j'ai hurlé à m'en arraché les poumons.
«-
Hey où tu te tires comme ça !? Tu m'as toujours pas fait de gosse alors reviens là enfoiré !!!»
Et il m'avait sauté dessus, me dévorant les lèvres me tirant les cheveux et on c'étaient abandonné l'un à l'autre sous la pluie, puis il m'avait raccompagné et on avait recommencé au pied de mon bâtiment contre un mur de mon magasin, je le serrai de toutes mes forces jusqu'à ce qu'il m'annonce ne plus revenu à présent et il parti me laissant tremblante contre le mur. Je suis tomber enceinte seulement trois semaines après et je l'ai cherché malgré ce qu'il m'avait dis, j'ai attendu en bas de chez moi puis devant le bar mais au 6ème mois j'ai abandonné j'avais mal et j'étais fatigué de l'attendre en sachant qu'il ne reviendrai pas.
«-
Il reste plus que toi et moi mon bout, faut être fort.. Très fort.»
J'ai essayé de reprendre le docteur qui m'avait suivi et dont j'avais saccagé le bureau, mais je lui avais laissé une mauvaise image alors je du prendre un autre médecin et j'ai opté pour celui qui avait suivi ma mère dans le quartier Sud, il m'assura pouvoir me suivre jusqu'au bout que ce n'était pas ses quarante ans tout juste aquis qui allait le ralentir, il se réjouissait même de s'occuper d'une deuxième LeBrown. Il me fit passé une battrie de test avant de demander après le futur papa, mais je le refroidi vite avec mon silence lui faisant comprendre que c'était juste lui, moi et le petit bout.
J'arrive au début de mon 7ème mois, il bouge moins, mais le médecin dit qu'il écoute les bruits et reconnait les formes alors je lui parle, j'écoute beaucoup de musique et caresse mon bidon sans arrêt je reste derrière la caisse à l'épicerie assise sur une chaise à bascule et j'ai employé deux jeunes filles le temps d'arriver à terme et de pouvoir gérer seule. Je marche souvent jusqu'à ma pâtisserie récemment ouverte où j'ai pris trois apprentis deux en fabriquation et un en caisse ils sont sympathiques et très activent, je leur apprend ce que je peux, mais j'ai tendance à être assis a une table saluant les clients et a donner des conseils quand on me pose des questions, je leur laisse un libre arbitre qui les forcent à agir sérieusement et il faut croire que ma méthode est apprécier aussi bien par l'école que par les apprentis. Et puis il y a la chambre pour le bébé, j'ai écris son prénom en haut de la porte : Ivi, mon petit chou je sais que c'est un garçon mais je n'arrive pas a faire la chambre, j'ai acheté le lit, toujours dans son carton ainsi que la commode, la table à langer et puis des combinaisons d'animaux adorables que je conserve sur des étagères, près des body et des couches, j'aimerai pouvoir donner un père au petit mais je n'ai connu que
lui et les autres ne m'intéresse pas de plus la poussette.. y en a pas j'ai attendu trop longtemps pour en prendre une maintenant se serai trop dur a transporter et c'est le genre de truc que les couples font ensemble et moi, seule, au milieu de leurs gazouillement je le sens mal alors je fais ce que je peux.
Pseudo : Circus/ Sweetie/Moi comme tu le sens ^^
Age : 16 ans~ mais je vais me prendre un an dans la figure très bientôt (30 Aôut)
Personnage sur l'avatar : Kushina Uzumaki - Naruto
Comment as-tu connu le forum : Par Lloyd Ravenwood (woop woop~ ♪)
Une dernière chose à dire ? Bretzeeeeeeel !