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Nom :Meridi Prénom(s) :Eckwyl Age apparent : 20 ans Age réel :20 ans Statut civil :Irréel Métier :Aucun, mais gagne sa vie en publiant anonymement des poèmes dans un journal Sexualité et statut:Répugne à tout contact physique intime, mais aime lorgner sur les jolies filles Lieu d'habitation :Alrun

Description physique : Eckwyl rentre dans la normalité en quasiment tout : taille moyenne, les cheveux noirs, pas de musculature dépassant la normalité, on pourrait presque le prendre pour un réel. Sauf si on regarde ses mains et ses yeux de plus près : des mains pâles avec chacune six doigts long et fin, comme celles d'une poupée de porcelaines. Quant à ses yeux, ils sont dorées comme du miel, avec un iris fendu à la vertical, comme ceux d'un félin. Autre détail troublant, lorsqu'il sourit à pleines dents, on remarque alors que son sourire semble... trop grand, avec des dents pointu comme celles d'un chat. C'est pourquoi ils sort toujours vêtu d'un chapeau du type borsalino blanc ou gris, de lunettes de soleil et de gants blancs à cinq doigts plus grand que ses mains, cachant ainsi ses doigts supplémentaires collés contre un autre pour le loger dans un compartiment. Niveau vêtement, il porte un haut blanc ainsi qu'une simple veste bleu peu souple, toujours entrouverte. Pour finir, il porte préférentiellement un pantalon bleu avec des chaussures bleu ou vertes foncées.

♣ TON CARACTERE ♣

Rieur et blagueur, Eckwyl arrive à mettre en confiance n'importe qui avec une blague ou une pitrerie, ce qui lui permet naturellement de recevoir des informations lors d'une enquête pour le journal. Il donne toujours l'impression que tout peut-être sujet à rire et il arrive souvent à le démontrer. Cependant, cette façade cache un personnage blessé et à vif depuis que sa créatrice soit tombé dans un profond coma suite un accident.
Depuis l'incident, il lui arrive parfois de regarder au loin dans le vide, comme absorbé par un détail insignifiant ou perdu dans ses pensées.
Bien qu'il n'est rien à reprocher au Gouvernement tant que celui-ci le laisse tranquille, il se méfie des Militaires et des hommes de loi.
De plus, il préfère ne faire aucune distinction entre un Illuvien un Réel ou un Irréel, étant un Irréel lui-même. Pour lui, seuls compte son opinion, peut importe qui ou ce qu'est la personne en face de lui.


♣ TON HISTOIRE ♣

Irréel, il fut créé par une jeune fille dépressive, Elora Iridem qui voulait avoir un ami qui la fasse rire toute sa vie. Eckwyl vit le jours et il ne cessa de faire le pitre pour alimenter le si jolie sourire de celle qui lui avait donné la vie. Ils vivaient tout deux dans un petit appartement dans le quartier sud D'Edernys, sans jamais se quitter et rire de tout ce qu'ils voyaient. Et pourtant, il leurs arrivait parfois de se fâcher assez violemment, car Eckwyl adorait prendre des risques, au grand dame d'Elora. Elle ne voulait pas qu'il s'en aille, alors qu'il ne souhaitait que s'amusait en sentant l'adrénaline couler dans ses veines. On peut dire que le destin fut cruel. Après l'une de leurs dispute, Eckwyl quitta leurs petit appartement pour se détendre. Elora tenta alors de lui faire plaisir en lui préparant son plat préféré, malgré ses faibles capacités en cuisine. Lorsque Eckwyl revint à l'appartement, ils s’installèrent à manger. Ce fut à ce moment là que l'incendie se déclara. Eckwyl sortit sans peine du bâtiment, il vit qu'Elora ne le suivait pas. Rentrant à nouveau dans lea bâtisse en feu, il la vit évanouie, au milieu de la fournaise. Il réussi à la transporter dehors, mais les brûlures qu'elle avais reçu la plongèrent dans un profond coma, malgré les soins intensifs des médecins. Il souffre depuis un phobie du feu et est parfois sujet à des crises d'angoisse quand il a trop chaud. Les Militaires le croient coupable de cet accident et le poursuivent pour le traîner en justice. Il est désormais un fugitif recherché à Edernys, mais il changea d'identité, se faisant passer pour un homme de 30 ans et déménagea à Alrun. Depuis, il tente de gagner sa vie en envoyant des poèmes à un journal, sous un nom de plume et en mendiant dans la rue. Il essaie de se réadapter lentement à sa nouvelle vie, sans pour autant oublier sa créatrice, en lui envoyant de temps en temps un petit cadeau ou un léger bouquet de fleurs.