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Nom : Diahadas Prénom(s) : Myrianne Age apparent : / Age réel : 24 ans Statut civil : Réel Métier : Scientifique Sexualité et statut: Bisexuelle. Lieu d'habitation : Dans un petit appartement, près de la gare, au quartier Ouest

Description physique : Une peau matte, presque bronzé, de long et très épais cheveux, noir (avec quelques mèches turquoises), ondulés, dégoulinant le long de ses épaules jusqu'au milieux du dos, encadrant un jolie visage fin aux lèvres envieuses et aux beaux yeux vert. Son corps mince fait jalouser les autres femmes, en dépit de ce qu'ont pourrait croire. Néanmoins, la pauvre femme ne possède aucune poitrine, "planche-à-pain" comme diraient certains, mais ces hanches généreuses compensent ce manque. De toute façon elle en est fière de sa petite poitrine. Le complexe, elle ne connait pas. Dans la rue, elle est facilement reconnaissable : Souvent habillée de robes Tziganes et, en plus, très négligée, elle ne se coiffe jamais et se retrouve la plupart du temps avec de gros paquet de nœud dans les cheveux. Parfois, elle ne trouve pas souvent le temps de se laver, causant une mauvaise image d'elle que se soit à la rue ou au travail (pour faire simple, elle n'a pas l'habitude de "bien s'occuper d'elle"). "Mais la blouse cache le tout !" ronchonne t-elle à chaque fois qu'ont lui fait une remarque. Parfois ça passe, parfois moins.

♣Le regard est la clef♣

Derrière ce jolie minois se cache en réalité une femme au caractère bien difficile. Très têtue, capricieuse, boudeuse si on ne va pas dans son sens, Myrianne est capable de vous faire la gueule comme un enfant de huit ans qui n'a pas eu son jouet. Ayant vécue son enfance dans la pauvreté et la difficulté, elle est très avare, refusant de donner ce quelle gagne à qui que ce soit, à l'exception de ses parents restés dans les rues du Quartier Sud, non loin du Old Square.
Négligente, pas très propre non plus, un vocabulaire bien cru, on l'a prend facilement pour un homme dans un corps de femme, la preuve se fait voir quand elle essaye de vous cassez la figure avec une arme blanche sous la moindre remarque désagréable sur ça façon de s'habiller ou sur elle en générale. Elle a horreur qu'ont lui donne des ordres.
Au fond, c'est une jeune fille fragile qui refuse de se montrer au grand jour, elle se croit forte, mais ne l'est pas. Quand elle est seule, elle n'hésite pas à verser tout ce qu'elle a pût emmagasiner dans la journée. Myrianne fait partie des personnes qu'il ne faut pas laisser seules, dans le sens où elle réfléchie trop et peut déraper à tout moment.
Également, elle est croit énormément à la magie qui, selon elle, est sont quotidien depuis sa naissance (Soyons logique, la magie n'existe pas). Certains peuvent la traiter de folle, ils se mangeront un coup de pied dans les parties intimes.
Elle éprouve également une grande passion pour l'astrologie.

En ce qui concerne les Iréels, elle n'a pas vraiment d'avis la dessus, ce ne sont que des objets d'expériences, même si ils sont comme Adam et Eve, des humains nés à taille adulte, qui n'ont pas vécu d'enfance et ne connaissent rien à la vie.
En dépit de sont statu, elle déteste le gouvernement plus principalement à son passer où elle a vécu dans la rue sans l'aide de quiconque.


♣ ... ♣

Comme chaque histoire digne de ce nom, il faut bien le dire, commence part la naissance la petite gitane qu'est Myrianne. D'une mère diseuse de bonne aventure et d'un père sans travail (ou plutôt, volait les passants), la petite prodige vit le jour à la campagne, dans les alentours d'Edernys, dans une petite maison abandonnée, un jour le plus chaud d'été. De toute sa petite enfance, Myrianne et ses parents n'ont fait que de vagabonder dans la capital et autour, jamais plus loin.
Malgré cette vie misérable qu'ils possédaient tout les trois, la petite Myrianne était contente de cette situation. Après tout, elle restait avec papa et maman, les personnes qui lui ont tout appris. Quand elle eu l'âge d'apprendre la lecture et l'écriture, maman s'occupait de cette tâche, lui écrivant des histoires de son invention pour la lui faire lire. Puis, c'était au tour de la petite fille de devoir écrire une histoire et ainsi de suite. Quant à son père, il lui apprit à manier les dagues pour ce défendre dans la rue et l'art du vol; comment ce faire le plus discret possible, sans que la personne ne sache que tu es à ces côtés. Malheureusement, cet apprentissage a dû être écourté à cause de la maladresse de sa fille et alla en prison à sa place.

"Tout est de ma faute !" pleurait-elle auprès de sa mère ce soir là.
"Non ma belle enfant... Tu n'y es pour rien. Mais ne recommence plus. Vois-tu où cela a amener ton père ? Ne vole plus jamais, ma Fée."

La pauvre enfant n'arrivait pas à s'arrêter.

"Ecoute moi mon enfant... Les jours où tes larmes ne cesseront de s'échapper, regarde les étoiles, elles écoutent tes malheurs et sont de bon conseils..."

Et la petite écouta sa jolie mère et leva les yeux vers le ciel bleu marine parsemé de lucioles céleste.

~*~

Quelques mois plus tard, le père sortit de prison en même temps que les deux jeunes femmes interpellées ce jour même. Les autorités découvrirent qu'ils ne possédaient pas de papiers d'identités, et firent les recherches nécessaire pour leurs en attribuer. C'est exactement ce jour là où, le père décida d'une voix déterminée et, en même temps, remplis de tristesse :

"Ma fille, je ne veux plus que tu vives ainsi, comme moi et ta mère. Je souhaite que tu possèdes une vie comme les autres enfants de cette ville, que tu fasses des études qui te plaisent et gagne ta vie. Je chercherais du travail et quand je l'aurais trouvé, je te le promet, ma fille, tu auras une vie heureuse..."

"Mais cette vie me plait papa..."

Ainsi ce passa comme son père l'avait prédit. Un an après cette discussion, il trouva un travail dans les locaux du quartier sud et pût payer de grandes études à sa fille (avec beaucoup de mal, il faut le dire). Myrianne n'aimait pas cela, les études étaient très dur pour elle, mais voulait absolument faire plaisir à son père. Elle a dût redoublé au moins deux fois.
De tout les métiers proposés, elle choisis la voie scientifique en raison de la rémunération et surtout, pour ça passion des étoiles, l'astronomie. Cette section lui faisait penser à sa mère qui s'aide des astres pour prédire l'avenir. Grâce à ce choix, elle se permet de rêver contrairement aux autres sections basées sur la raison qui a une solution "terre à terre", comme elle aime bien citer. Si les raisons n'ont pas de solutions, elles sont considérées comme "rêves" ou "chimères". Or, ces fameux "rêves", Myrianne les gardes encore. Bien cacher dans sa blouse blanche, de tout ces scientifiques qui se croient si supérieur, qu'elle déteste. Elle a fait ça pour son père et sa mère. Pour qu'à leur tour, ils vivent heureux.

~*~

"Tu sais ce qu'est une étoile filante mon enfant ?"
"Non, quoi maman ?"
"C'est une âme qui quitte le ciel pour se réincarner en un être vivant. Si vos regard ce croisent et que tu fais un voeux, il te le réalisera..."
"Oh ! Je souhaite donc... Que rien en change !"

~*~

"Elle ne m'avait pas vu..."

Fin