Emelrich S. LichtenbergDate d'inscription : 20/02/2013 Messages : 268 Age : 29 Fiche de présentation : There. Sexe :
Masculin
Habitation : Centre d'Edernys, dans un grand appartement. Sexualité : Goûte à tout ~ Célibataire Métier : Scientifique au service d'Andrew Bauhmann. Humeur : Froide.
Nom : Lichtenberg. Prénom(s) : Emelrich, Sigmund. Age apparent : Age réel : 32 ans. Statut civil : Réel. Métier : Scientifique au service d'Andrew Bauhmann, et enseignant pour les quaternaires certaines années. Sexualité et statut: Touche (c:) à tout ~ Célibataire Lieu d'habitation : Centre d'Edernys, dans un grand appartement.
Description physique : Emelrich est un homme plutôt grand, du haut de ses cent quatre-vingt centimètres. Ses courts cheveux noirs sont parfois dotés de lueurs châtain foncé à la lumière du soleil et ses yeux sont pourvus d'une étonnante couleur bleue-grise. Une très fine barbe mal rasée et un long nez aquilin décorent son visage fin. Bref, vous l'aurez compris, Emelrich a un très beau visage. Cependant, celui-ci trahit souvent son caractère froid et cynique, ce qui ne donne pas vraiment envie de l'admirer.
His temper.
SON CARACTERE
Quand vous voyez Emelrich, vous pensez directement à baisser les yeux – sauf si vous êtes d'une audace suprême... ou alors complètement inconscient. Emelrich, il fait froid dans le dos. Il ne sourit quasiment jamais, mais quand le coin de ses lèvres se relèvent, ne serait-ce que de quelques millimètres, c'est un mauvais signe. Il s'apprêtera sûrement à vous faire une remarque méchante et cassante. Si ce cher jeune homme se permet d'être aussi terrifiant et respecté, c'est qu'il a une position sociale et une influence assez élevées. Travaillant pour le célèbre docteur Bauhmann, il possède un statut assez élevé et peut même prendre quelques directives. De plus, il peut parfois enseigner les sciences naturelles et physiques ainsi que la chimie pour les quaternaires, et bientôt, il pourra peut-être même se spécialiser dans l'enseignement concernant Illuvis. Mais son mental ne s'arrête pas uniquement à cela... Ça va plus loin. Emelrich a passé toute son enfance à contenir ses envies et à souffrir de sa séparation avec sa mère. Il a grandi dans la jalousie et la frustration, et celles-ci ne se sont toujours pas vraiment estompées. Emelrich était un enfant ambitieux, mais maintenant qu'il a un statut social privilégié, il passe son temps à dédaigner les autres. Il déteste les personnes trop sentimentales, vous l'aurez deviné.
You really don't wanna know it.
SON HISTOIRE
/!\ Une partie de cette biographie peut choquer les âmes sensibles. /!\
Jusqu'à tes cinq ans, tu vécus les plus beaux jours de ta vie. Ta mère te montrait ses meilleurs côtés et t'apprenait à profiter de chacun de ses instants. Tu eus également appris à admirer dans chaque chose banale une beauté exceptionnelle, comme la forme d'un simple caillou dans ton jardin. Tu avais l'âme d'un artiste quelque part. Ta vie aurait pu être un long fleuve d'eau douce, alimenté par des sources pures et dynamisé par des courants de grandes inspirations. Mais le destin en a choisi autrement. À cinq ans, la mort te sépara de ta mère. Perdu, tu dus te livrer à toi-même dans ce triste monde... et chez ton père que tu n'avais pas vu depuis trois ans déjà. Celui-ci vous avait abandonnés, ta mère et toi, quand tu n'avais que deux ans. Pourquoi ? Pour partir avec une autre femme, avec qui il trompait ta mère depuis déjà quelques années. Ta pauvre mère était dans un bien triste état... Tu ne pourras jamais oublier le jour où tu l'as vue fondre sous le torrent de ses larmes, après que ton père s'en fût. Depuis ce jour, tu éprouvais une haine noire envers ton géniteur. Jamais tu n'aurais pu imaginer que trois ans plus tard, tu te retrouverais contraint et forcé de vivre chez lui et chez cette femme, avec qui il trompait ta mère. C'est ainsi que ton enfance se brisa.
Tu ne t'es jamais senti à ta place, dans cette famille qui t'était totalement étrangère. Tu aurais pu espérer jouer leur fils, si on ne t'avait pas déjà pris la place. Ton père n'avait pas perdu son temps. Tu avais déjà un demi-frère de quatre ans ton cadet. Il n'avait que un an quand tu es arrivé. Il n'était pas bien dangereux, il ne s'exprimait pas beaucoup. Mais tu le détestais déjà. Il n'aurait jamais dû exister. Ton père aurait dû rester avec toi et ta mère et n'avoir jamais créé une larve pareille. Tu le voyais, dans son berceau, avec ton père et ta belle-mère autour de lui. Et toi, tu étais là. Transparent. Seul. Privé de mère. Privé d'amour. Au fil des années, tu appris à contenir tes larmes. L'amour que tu éprouvais pour ta mère s'était transformé en une haine abyssale envers ton père et ton demi-frère. Tu n'aimais pas non plus ta belle-mère, mais n'ayant échangé que de brèves phrases tout le temps de votre cohabitation, tu ne la connaissais pas beaucoup.
Quand on aime, on est euphorique. On le montre. On est heureux. Tu avais connu ce sentiment. Mais, tout s'était inversé. Ton esprit s'était embrumé. Toute couleur dans ton esprit s'était changée en une nuance de gris. Et chaque jour, ces couleurs s'assombrissaient. Ta haine, tu la contins bien longtemps... Mais il arriva un jour où le ballon explosa, où le vase se brisa. Tu avais toujours eu une grande capacité d'absorbance, mais ton réservoir n'était pas sans fond. Vers tes neuf ans, tu commençais déjà à fréquenter des enfants peu recommandables à l'école. Eux aussi avaient vécu une enfance privée de rose. Vous vous échangiez divers moyens de faire souffrir les autres. Chacun trouvait sa victime. La plupart prenaient plaisir à torturer leurs camarades. Toi tu préférais rester discret et ne rien faire à l'école. Tu étais plus subtile que ça. Et surtout, tu avais une victime toute trouvée... Ton cher petit frère n'avait que cinq ans à cette époque. La rondeur de son visage le rendait tellement disgracieux que tu le trouvais laid. Mais ce n'était pas le cas de tes parents, de la famille et des amis de la famille. D'ailleurs, ces derniers ne t'accordaient toujours qu'un bref regard lors des repas de famille. Tu étais toujours comme l'enfant de trop. Comme l'indésiré. Cela te rendait triste avant, mais tu en fis très vite une force. Celle qui te permit de faire souffrir ton jeune frère, par exemple. Tu avais exploré toute la palette de la souffrance et du sadisme. Tu devins un expert en la matière. Physiquement ou moralement, Barnabas souffrait comme tu l'avais toujours désiré. C'était son tour. Pourquoi aurais-tu été le seul à avoir souffert ? Ç'aurait été injuste, n'est-ce pas ? Pour équilibrer les choses entre Barnabas et toi, tu pratiquais le chantage et les menaces du genre « Si tu ne me donnes pas ton jouet, je détruis une à une tes peluches. Avant de te crever les yeux. », puis tu lui plantais de temps en temps un crayon à papier dans le bras... quoiqu'un jour ce fut un compas. Tu lui tordais les poignets, pratiquais les brûlures chinoises, l'étranglais, le brûlais, le faisais hurler jusqu'à l'extinction de voix... et j'en passe. Tu avais une imagination débordante. Un jour, tu fis semblant de vouloir t'excuser et l'emmenas à la piscine. Vous vous baignâtes, riiez, puis tu te jetas sur lui pour le noyer. Il se débattit sous l'eau, vous vous battiez. Le maître nageur vous pêcha tous les deux et tu te plaignis d'avoir été victime d'une noyade causée par ton frère. Dépourvu de toute capacité de persuasion, ton frère perdit et sa mère le gifla. Ce spectacle te fit sourire jusqu'aux oreilles.
Durant ton adolescence – tu ne devais pas être plus vieux que seize ans –, tes hormones furent en pleine ébullition. Tu voyais ton frère, il n'avait que douze ans. Il était petit et enrobé, l'air toujours triste... et idiot – pas qu'il était bête, c'est juste qu'il n'inspirait pas une très grand vivacité. Il devait bien s'ennuyer... Une idée te vint. Plus tu y pensais, plus le sourire qui se dessinait sur ton visage s'élargissait. Tu avais eu de nombreuses occasions de goûter à l'activité à laquelle tu pensais. Tu étais peut-être précoce, mais tu t'en moquais. Cependant, tu n'avais exploré ce loisir qu'à moitié. Tu ne l'avais pas testé sur plusieurs... supports. Vanessa, une de tes camarades de classe, l'exerçait souvent avec toi, bien que tu en tirais beaucoup plus de plaisir qu'elle. Alors pourquoi ne pas varier ? Ton frère ne faisait rien de plus passionnant. Tu allais lui faire découvrir ce nouveau genre. Tu lui rendrais sûrement service, après tout ? Jusqu'à ton départ de la maison familiale, Barnabas et toi dormiez dans la même chambre, à ton plus grand plaisir, à son plus grand désespoir. Le lieu se prêta donc drôlement bien. Un soir d'une chaude journée de mai, tu décidas de passer à l'acte. Barnabas dormait dans le lit du bas, toi en haut. Il ne te verrait pas arriver. Tu avais déjà chaud. Ton frère aussi, tu sentais sa transpiration depuis déjà quelques heures. Tu souris. Fermant les yeux, tu imaginais déjà la scène... Le sang affluait déjà dans toutes les parties de ton corps. Tu étais prêt. Ce pauvre Barnabas n'avait rien vu venir. Il n'avait jamais dû hurler aussi fort que durant cette nuit là. Mais il ne savait pas que celle-ci allait se reproduire plusieurs fois... Ta haine se déchaînait durant chaque minute, durant chaque seconde. Tu l'anéantissais depuis votre enfance, mais tu portas le coup de grâce. Depuis cette terrible nuit, tu pratiquais une torture psychologique sur ton frère pendant un an, jusqu'à ce que tu partisses faire tes études en quaternaires et que tu eusses ton propre appartement. Tu l'avais violé. Tu avais violé ton propre frère. Barnabas mincit durant toute cette année là. Il devint de plus en plus frêle, encore plus qu'auparavant. Il n'était presque plus qu'un déchet vivant. Tu avais eu ce que tu voulais. Tu l'avais détruit. Tu pouvais commencer ta vie comme elle te plaisait. Tu avais accompli ce que tu voulais accomplir.
Comment avais-tu fait pour pouvoir torturer ton frère aussi longtemps ? Sans te faire prendre ? Sans que Barnabas ne se plaigne, ne serait-ce qu'une fois ? Tu n'avais pas fait grand chose. Une simple menace servait à le faire taire. Et il avait bien assez d'imagination pour trouver des excuses à chacune de ses blessures.
Tu étudias jusqu'à tes vingt-cinq ans dans les sciences. Tu étais très bon à l'école, et ta famille avait beaucoup d'argent, ce qui te permit de faire les études que tu désirais. Même s'ils ne t'appréciaient pas forcément, ton père et ta belle-mère furent très satisfaits de te voir faire de grandes études. Et tu ne les avais pas déçus. À vingt-cinq ans, tu étais déjà chercheur. Un an plus tard, tu travaillais pour le célèbre Docteur Bauhmann. Quelques années plus tard, il découvrit Illuvis. Et les expériences furent accomplies. Puis Illuvis était vendue au marché noir. Tu assistais et assistes toujours aux créations officielles d'Irréels. Étant un scientifique renommé, on t'avait confié du matériel, que tu stockas chez toi. C'était parfait. Toi aussi tu avais envie d'essayer. Tu te sentais seul depuis six ans. Tu ne voyais plus ton frère. Il te manquait, finalement. Tu désirais une présence chez toi, non pas pour la torturer, mais pour l'admirer. Cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas admiré quelqu'un. Ta mère te manquait et elle te manque toujours. C'est ainsi que tu t'injectas Illuvis – préalablement achetée à un dealer. Celle-ci gagna ton cerveau, tu imaginais ta mère... ta belle et tendre mère. Tu désirais plus que tout au monde la revoir... Tu fermas les yeux, la respiration haletante. Tout s'accélérait autour de toi, ta tension montait terriblement, ta respiration était de plus en plus forte et de plus en plus rapide. Tu étais parcouru de pulsions. Tu t'agitais dans tous les sens sans pouvoir t'arrêter. C'est comme si le monde était en pleine distorsion autour de toi. Puis tu perdis connaissance.
Quelques minutes plus tard, effondré sur le sol, une douleur atroce à la tête, tu ouvris péniblement les yeux. Ton regard se fixa sur une jeune femme aux cheveux noirs, elle aussi allongée sur le sol. Nue et absolument magnifique. Effrayé, tu n'osais pas te relever. Alors ce fut elle qui le fit à ta place. Ses cheveux découvrirent son visage. La première chose que tu remarquas chez elle, ce furent ses yeux. Violets. Comme ceux de ta mère. Tu la dévisageais. Son visage était parfait. Ses traits étaient doux. Son corps magnifiquement sculpté. Elle répandait une aura apaisante... jusqu'au moment où elle éclata en sanglots. Jusque là, tu retrouvais chez elle chaque aspect de ta mère. Ce qui était normal : ton Irréelle avait l'apparence de ta mère quand elle était jeune. Mais tu remarquas bien vite qu'elle n'avait aucune qualité que tu désirais en elle. Au contraire, au fil des jours, tu remarquais qu'elle représentait tous tes fantasmes. Même les plus enfouis. Tu n'avais pas le choix. Il fallait te débarrasser d'elle.
Et puis, ce n'était pas comme si tu l'avais créée légalement. Tu avais couru un très gros risque en la créant. D'autant plus que tu travailles pour Bauhmann. Il te fallait faire vite. Tu pensais d'abord la tuer. Mais les Irréels ne se laissent pas faire si facilement. Par chance, elle tenait et tient toujours beaucoup à toi - même si elle ne le montre jamais. Il était facile de la convaincre. Tu l'obligeas donc à s'exiler dans le Quartier Est. Elle devait se faire passer pour une Réelle. Tu lui donnas tout l'argent dont elle avait besoin. Tu lui indiquas également qu'elle avait tout intérêt à ne pas montrer sa véritable nature. Et si jamais elle était dévoilée, elle devrait certifier n'avoir jamais connu son créateur. Comment lui faire tenir parole ? Tu la menaces. Tu as le pouvoir de la faire vivre et mourir après tout. Pas aussi simplement qu'elle ne le pense, cependant...
Voilà où tu en es aujourd'hui, Emelrich. Ton travail te permet d'être très bien respecté et envié, tu as même quelques admirateurs. Ton passé, tu n'en parles jamais. Quant à Barnabas, lui non plus n'en parlera jamais. Il a bien trop peur de tes représailles. D'ailleurs, celui-ci travaille pour le gouvernement. Son travail consiste à recueillir des informations. Il n'a rien trouvé de mieux à faire... Mais tu t'en fiches après tout. Vous ne vous parlez même plus. Tu t'es débarrassé des parasites. Tu mènes une vie plutôt... paisible. Les Irréels ne te posent pas de soucis – à une exception près. Quant à savoir si cela va durer, seul l'avenir te le dira.
Wanna know me?
Pseudo : Windy, ou encore Moriahim. (Mais si vous viendez de KA, vous me connaissez sûrement par Elly/Dudu/Mimile/Fenny. 8D) Age : Trop vieille pour les pedobears. c: Personnage sur l'avatar : Ils sont improvisés. %) Comment as-tu connu le forum : ... Une dernière chose à dire ? Roberta will eat you all.
Cyrius BerkamDate d'inscription : 20/02/2013 Messages : 2340 Age : 33 Fiche de présentation : Pour en savoir plus sur Cyrius Sexe :
Masculin
Habitation : Dans des môtels dans un peu tout Edernys Sexualité : Avec Ismahen. Métier : Retraité forcé. Humeur : Tendu & harassé
Tout ceci mis à part, j'ai apprécié lire ta fiche ! (Et j'aime bien son sadisme à Emelrich. Quand il est pas trop poussé... HMM)
Bref, je te valide avec grand plaisir !
Fais péter le compteur de RPs !
EDIT : Bon, suite à un bug du rang Scientifique, je me vois contrainte de mettre le rang Réel jusqu'à.... réparation du souci ._. Nos excuses pour le dérangement...