______Nom : Lewis Prénom : Sam Age apparent : - Age réel : 27 ans Statut civil : Réel Métier : Scientifique Sexualité et statut: Hétérosexuel - Célibataire Lieu d'habitation : Un grand appartement du Quartier Ouest
| Description physique : Sam est plutôt grand (1m75) et mince. En dépit de son comportement assez discret, on remarque facilement Sam, sûrement à cause de sa chevelure rousse flamboyante et bouclée. Ses yeux sont d’un beau bleu foncé et sa peau est très claire – rousseur oblige. Son visage, agréable et ouvert, est constellé de tâches de rousseur. Son style vestimentaire est simple, mais élégant. |
His temper
Sam est avant tout quelqu’un de gentil. Très gentil. Trop gentil, même. Il est doté d’une immense bonté, qui le pousse à toujours vouloir aider son prochain, quel qu’il soit. Malheureusement pour lui, son entourage a tendance à profiter de sa trop grande gentillesse. Il faut dire que quand on a à porter de main une personne qui obéit à toutes les demandes sans broncher, on en profite, n’est-ce pas ? Il est vrai que Sam a du mal à dire non. Sa tendance à culpabiliser pour tout et à ne pas vouloir décevoir les gens doit y être pour beaucoup.
Sam est une personne sensible et est facilement touché par les mots blessants qui peuvent lui être adressés. Cependant, il ne montre jamais qu’il va mal et a toujours un sourire sur les lèvres. C’est quelqu’un qui a tendance à manquer de confiance en lui, surtout dans ses relations avec les autres. Ce n’est pas qu’il est timide, c’est juste qu’il a peur de déranger les gens et préfère attendre que ce soit les autres qui fassent le premier pas vers lui. Il est par contre ouvert et est toujours ravi de pouvoir discuter avec quelqu’un. Si vous arrivez à obtenir son amitié, réjouissez-vous car Sam est très dévoué envers les personnes qu’il aime et leur est très fidèle.
Si Sam est très tolérant, il y a deux choses qu’il ne supporte pas : la méchanceté et l’injustice. Il n’hésite pas à défendre ses idées et, malgré son tempérament doux et pacifiste, peut faire preuve d’une grande force de caractère quand il fait fasse à une situation qu’il juge injuste. Même si il n’en a pas l’air, si un conflit démarre, il ne se laisse pas marcher sur les pieds – bien qu’il préfère éviter toute discussion houleuse.
Par contre, si Sam peut tenir tête verbalement à quelqu’un, il l’ira jamais employer la force physique. Il a horreur des personnes agressives et ne supporte aucun type de violence.
Niveau amoureux, Sam a déjà eu quelques copines mais malheureusement pour lui, ces dernières se sont surtout montrées très profiteuses avec lui et l’ont largué sans ménagement. Du coup, il n’est pas très confiant lorsqu’il s’agit de tisser une relation amoureuse. Et il faut dire qu’il ne se préoccupe pas beaucoup de sa vie amoureuse, préférant s’occuper de son travail ou de sa sœur.
His story
Tu es né dans un petit appartement simple du Quartier Ouest. Tu n’étais pas destiné à vivre dans la richesse, mais qu’importe, l’argent ne fait pas le bonheur. Tu es né d’une mère mais tu n’avais pas de père, mais qu’importe, on peut très bien vivre heureux avec un seul parent.
Et pourtant, le bonheur n’était pas décidé à frapper à ta porte.
Ta mère était jeune, très jeune. Elle n’était pas encore majeure quand tu es venu au monde. C’était une gamine des rues, une fille de rien, une adolescente qui avait fugué du domicile familiale, une jeune fille sans avenir, qui faisait le commerce de son corps pour gagner sa vie. Elle avait prévu les Nis qu’elle remporterait grâce à son joli visage, l’appartement qu’elle pourrait s’acheter toute seule, les fringues d’ado qui peupleraient sa garde-robe, la vie loin de ses géniteurs.
Mais elle n’avait pas prévu les douloureuses nausées, le ventre arrondi, les neufs longs mois. Elle ne t’avait pas prévu toi.
Et pourtant, tu es arrivé. Elle ne t’aimait pas. Peut-être est-ce parce que tu venais gâcher ses plans de vie indépendante, ou bien parce que tu devenais une source de dépense qu’elle n’avait pas prévu ou bien encore parce qu’elle était jeune, très jeune, beaucoup trop jeune pour devenir mère. Ce sentiment de protection, de tendresse, d’amour, qu’elle aurait du ressentir envers son fils – qu’elle aurait du ressentir envers toi – ne l’a jamais effleuré. Ta mère ne t’aimait pas et tu as grandi ainsi, sans le moindre soupçon d’amour maternel. Pire encore, lorsque tu eus accumulé quelques années – suffisamment pour que tu te montres assez robuste face aux coups- ta mère commença à se montrer violente avec toi. Une mauvaise journée, une passe pas assez bien payée, un client un peu trop brusque et hop, les coups pleuvaient. Tu étais son défouloir, son exutoire. Ta petite enfance était sombre, solitaire, avec cette mère qui t’abandonnait dans votre petit appartement chaque soir pour aller retrouver des hommes que tu ne voyais jamais.
Très tôt, tu te réfugias dans les études. Tu savais que c’était le seul moyen pour toi de t’assurer un bel avenir, aussi te révélas-tu très studieux. Tu étais curieux de tout et intelligent, ce qui facilita la tâche. Par contre, tes petits camarades n’étaient pas très aimables avec toi. Beaucoup se moquaient de tes cheveux roux. Et oui, les enfants sont souvent cruels entre eux, n’est-ce pas ? Les seuls moments où ils étaient gentils, c’était pour profiter de ta trop grande gentillesse. Tu savais qu’on profitait de toi, mais tu avais tellement envie de faire plaisir que tu t’exécutais sans rouspéter.
En grandissant, les sciences te passionnèrent de plus en plus, tant et si bien que tu caressas assez tôt l’ambition de devenir scientifique. Travailler dans la recherche, pouvoir découvrir de nouvelles choses, des choses qui pourraient peut-être aider les gens… Cela te correspondait très bien. Tu savais cependant que des études longues couteraient pas mal d’argent et ta mère n’avait ni les moyens, ni l’envie de te les payer. Dès le début de ton adolescence, tu commenças un petit boulot en tant que serveur. Tu étais quelque peu sous-payé en raison de ton jeune âge, mais qu’importe, tu travaillais dur pour pouvoir économiser pour tes futures études et réussir ta vie tout seul comme un grand.
Ainsi s’écoula ton enfance et ton adolescence, entre petit boulot, études et mère violente. Pas une seule fois tu n’as laissé le désespoir t’envahir, mettant toute ton énergie pour réussir le but que tu t’étais fixé. Et cela porta ses fruits : tu réussis à entrer en quaternaire pour étudier les sciences. Tu ne travaillas que d’avantage, n’abandonnant pas pour autant ton job. Tu avais besoin d’argent, surtout que ta majorité approchait à grands pas et tu te doutais bien que ta mère ne te voudrait plus chez elle dès qu’elle aurait légalement le droit de te mettre à la porte.
La perspective de quitter le domicile familial ne t’aurait posé aucun problème si un événement inattendu n’était pas venu perturber ta dix-neuvième année. Ta mère tomba enceinte. D’un père inconnu, tout comme toi. Cette grossesse te choqua au plus haut point : tu n’aurais jamais imaginé que ta mère donne naissance à un autre enfant. Que tu aurais un frère ou une sœur. Cette idée t’était tellement étrange que tu ne savais pas quoi ressentir pour cet être encore invisible. Tu voulais attendre sa naissance pour essayer d’y voir plus clair mais ta mère ne t’en laissa pas le temps. Elle était toujours enceinte le jour de tes vingt ans, le jour où tu dus quitter définitivement son appartement. Ce n’était pas une surprise, tu avais pris les devants, à savoir t’acheter un logement. Bon, tu avais beau avoir économisé depuis longtemps, tu ne roulais pas sur l’or et tu avais seulement de quoi vivre dans un minuscule studio mais c’était amplement suffisant.
Les premiers mois sans te faire furent une délivrance. Tu n’étais plus prisonnier de cette violence maternelle qui te terrorisait. Quand à son absence… Au fond, elle ne t’affectait pas temps. Pas que tu détestais ta mère, non. Tu n’arrivais même pas à lui en vouloir, elle t’avait eu si jeune et dans des conditions si misérables. C’était simplement que tu ne l’appréciais pas pour autant et savoir que tu ne la reverrais ne te rendait pas bien triste.
En revanche… Tu gardais en mémoire le souvenir de son ventre rond, du futur bébé à naître. Tu ne tenais plus à avoir de liens avec ta génitrice mais cet enfant… tu étais son frère. Et tu n’arrivais pas à te sortir cette évidence de la tête. Tu te décidas finalement à franchir le pas et à retourner voir ta mère. Voir ton petit frère ou ta petite sœur.
Lorsque tu arrivas dans ton ancien domicile, cependant, tu le trouvas vide, inhabité. Ta mère avait déménagé. Toi, tu ne pensais plus qu’au nouveau-né, aussi entrepris-tu de faire des recherches pour savoir où ta mère était partie vivre. Tu ne trouvas pas le lieu de son nouveau logement mais en revanche, tu fis une découverte beaucoup plus intéressante. Ta mère avait donné naissance à une petite Olivia, qu’elle avait abandonnée chez une certaine Lucie Lewis. Le même nom de famille que toi… Car c’était la soeur de ta mère. Ta tante. Ta mère avait coupé les ponts avec toute sa famille, tu ne connaissais donc même pas cette femme qui s’occupait de ta petite sœur.
Mais tu t’en fichais. Tu avais tellement envie de rencontrer cette petite sœur que tu étais bien décidé à aller rencontrer cette tante inconnue. Par chance, elle vivait à l’Ouest, comme toi. La femme qui t’ouvris la porte ressemblait quelque peu à ta mère. Elle avait des yeux bleus et des taches de rousseur, comme elle, comme toi, mais ses cheveux étaient châtains. Et son visage à elle était doux et maternel. Elle avait beau n’avoir eu aucun rapport avec sa sœur depuis des années, elle n’avait pu se résoudre à abandonner sa nièce et s’en occupait avec joie, elle qui était célibataire et sans enfants. Elle te présenta enfin ta petite sœur, qui n’était alors qu’un bébé d’à peine deux mois. Tes yeux étaient si émerveillés devant ce petit poupon aux mèches rousses. Tu sentis en la voyant un sentiment fort t’étreindre, tel que tu n’en avais jamais ressenti. Cette petit chose si mignonne et si fragile, c’était ta sœur et tu serais toujours la pour la protéger. Elle était devenue ta nouvelle raison de vivre.
La petite Olivia te motivait encore plus à poursuivre tes études. Tu voulais qu’elle soit fière de son frère, tu voulais avoir une belle vie non plus pour toi, mais aussi pour elle. Son joli sourire qu’elle arborait à chaque fois que tu venais lui rendre visite te donnait chaque jour un peu plus de force.
Tu finis tes études avec brio à vingt-six ans et pus intégrer une équipe de scientifique. Tes débuts dans ce milieu correspondirent avec les premiers travaux sur l’Illuvis. Tu étais bien trop jeune et inexpérimenté pour pouvoir approcher de si près le mystérieux produit mais tu suivais les progrès de la drogue de loin, au milieu des jeunes laborantins, comme toi. Tu entendais des comptes rendus d’expériences, des tests, des premiers Irréels. Tu avais de plus en plus envie de travailler dans le secteur de l’Illuvis. Dans le secteur des Irréels. Car oui, Sam, on se refait pas, et ta grande bonté te donnait envie d’aller t’occuper de ces êtres que l’on considérait trop souvent à ton gout comme de vulgaires produits d’expériences.
Cela fait maintenant un an que tu travailles. Tu as pu t’acheter un nouvel appartement, plus grand, plus confortable. Tu vois très souvent ta petite sœur, que tu aimes plus que tout et elle te le rend bien. Ton travail te plait et tu te donnes tous les moyens pour gravir les échelons et obtenir un poste plus important.
Ca a mis du temps mais on dirait que la vie te sourit enfin.
Pseudo : You can call me Lady MacKnight, bitch.
Age :19 ans
Personnage sur l'avatar : Un des jumeaux Weasley (ne me demandez pas lequel) en fanart et légèrement modifié (fanart fait par Viria)
Comment as-tu connu le forum : On se le demande bien, tiens
Une dernière chose à dire ? GINGERS ARE COOL.
ET EMELRICH TOUT CA EST TA FAUTE JE TE DETESTE.
Ah et comme parfois Sammy est accompagné de sa petite sœur, j’ai rajouté une mini fiche sur elle o/