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Nom :Happy Prénom(s) :Oscar (surnommé "oz" quand il n'est pas appelé par son nom de famille) Age apparent : - Age réel : 26 Statut civil : Réel Métier : Professeur d'histoire dans un établissement scolaire, démarre sa carrière d'enseignant Sexualité et statut: Hétéro, célibataire Lieu d'habitation : centre

Description physique :Ouais, j'imagine qu'il faut commencer par là... Je dois mesurer dans les 1 mètres 75 à peu près, pour 63 kg, je ne suis pas très musclé. Je serais capable de perdre un bras de fer avec un adolescent, c'est dire. J'ai hérité de la couleur de cheveux rousse de ma mère et des yeux marrons de mon père. Je suis très pâle puisque je suis allergique au soleil, une des pires allergie au monde, devant l'allergie a la poussière,d'après moi en tout cas. (je ne bronze pas, des plaques rouges apparaissent sur mon corp quand je m'expose trop, c'est franchement dégueu a voir.) Sinon, je ne suis pas la mode, m'habillant avec un costume chemise, gilet, cravate orange pour le boulot, et avec une veste ou un polo, orange toujours, les jours ou je peux me décontracter.

♣ TON CARACTERE ♣
Mon caractère? Ok si vous voulez... Bon je ne suis pas un type très intérressant, j'aime ce qui est réglo, carré, bref, en ordre. Je ne suis pas un esprit rebel, mais alors pas du tout. Je pense que vous l'aurez deviné, ma couleur préferé est le orange, évidemment. Je suis assez bon cuisinier, surtout pour ce qu'il s'agit de plats élaboré, avec des féculents, comme des pâtes, ou des truc dans le genre. Je ne joue pas trop aux jeux vidéos, ni même regarde la télévision très souvent, j'ai une préference pour la lecture de science-fiction, ou les romans policier. J'aime beaucoup les enfants, j'en ai d'ailleurs un, mon petit garçon, Félix, de 5 ans. Sinon, j'aime bien les autres enfants, si je suis prof, c'est pas pour rien, même si mes élèves me donnent du fil a retordre. Je ne suis pas autoritaire, et ils en profitent. Ajoutez à cela le fait que je débute ma carrière, et vous obtenez le cocktail parfait de plusieurs classes survolté comme une Vingtaine de jouets qui crie. Je suis très timide, mais pas asocial. je n'oserais jamais prendre la parole en premier avec des inconnus (j'arrive toujours pas à savoir comment j'ai fais pour avoir un enfants, d'ailleurs.) Je me fiche un peu du gouvernement, tant qu'ils font pas de réformes stupide au niveaux de l'éducation. Au niveaux des iréels, je trouve que tous cela va un peu trop vite, On ne sais plus qui en est un, qui n'en est pas. Enfin, ça importe peu, j'imagine. Le seul truc que je trouve complètement idiot,c'est cette histoire d'iréels légaux ou illégaux. ça veux dire que si un iréel est créé illégalement, il peut être arrêté, ou même tué, car il existe? C'est quoi ça, comme régime politique?



♣ TON HISTOIRE ♣
Je déteste mon prénom. Et mon nom de famille ne m'aura pas aidé non plus. Commençons par le commencement. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie dans cette ville, mais j'ai passé mon enfance dans le quartier est. Ma mère est mon père sont tous les deux instituteurs, autant vous dire que mon trajet était déjà tout tracé. En primaire, j'étais "Oz le mec content" pour les brutes qui me tabassait. Et oui, j'étais pas un enfant très heureux, et avoir une parent dans l'école n'arrangeais pas les choses. La jalousie, la peur, toutes ces petites choses qui poussent les autres à vous détester. Bilan du match: pas un seul ami en primaire, et des bleues et pansement pour cause de "chute". Sinon, j'étais assez studieux, je me débrouillais dans a peu près toutes les matières, mais l'histoire me passionais. l'idée qu'une bataille ou une loi était passé sur les terres ou nous somme m'a toujours donné envie d'en savoir plus. Et cela est toujours le cas aujourd'hui. Je suis passé aux cours secondaires avec l'idée que les choses allaient changer. Pense-tu! C'était pire. Les enfants sont cruels entre eux, et cela depuis des génération. Parmis les rumeurs qui tournaient sur moi, on retrouvais souvent l'idée d'un orphelin gay, et ce genre de connerie. "Si vous le frappez, il rigole." était la pire de toute. Des gens que je ne connaissais même pas venaient me chercher. Je ne suis pas quelqu'un de méchant, disons même que je suis assez pétochard en général. Je n'osais pas répondre. Il venaient donc frapper ou insulter, "Happy le mec qui rit". Au moins, ne pas avoir d'amis m'a permis de me plonger dans l'histoire et la science-fiction. Les bouquins de SF me passionaient, avec toujours le schéma narratif du loser, mordu, piqué, frappé par un truc radioactif qui le transforme en super-héros, ou encore le vaisseau perdu dans l'espace qui arrive sur une planète inconnue... Mais je m'écarte du sujet, pardonnez moi. J'aurais fais deux déprime dans cet établissement. 13 ans, je passais les tertaires, je bossais, les gens continuaient a me détester, à une exception près: Laura Summer. Belle, brune, attentionnée, parfaite. Seulement, je n'avais jamais eu a communiquer, alors comment faire pour attirer son attention? Elle était différente. Elle faisait attention à tous le monde, et était apprécié à sa juste valeur. Je ne lui ai jamais décroché un seul mot aux cours tertiaires. Du moins, jusqu'au prochain établissement, ou j'ai passé les quartenaires. J'ai quitté le foyer familial pour aller m'installer dans le centre, dans un petit studio. Les gens sont plus mature en classe supérieure, ils vous pourissent la vie de manière plus discrète. Plus de rumeur, par exemple. Laura était ma voisine aux cours de mathématiques. Elle n'écoutait pas les rumeurs ou les trucs dans le genre. Un jour à la fin d'un cours, elle m'a donné rendez-vous pour aller manger à la cafeteria. Un blaireau dans mon genre n'a su que dire des choses sans aucuns sens qui voulaient dire "ok". On a donc fais connaissance, c'était la première fois que je parlais réellement a quelqu'un. Je ne savais pas trop quoi dire, et je n'en ai pas eu le besoin. C'était elle qui posait toutes les questions. Nous somme resté amis pendant 1 ans, jusqu'à ce jour ou nous nous somme embrassé. Et oui, ça fais gamin, mais c'était bel et bien mon premier baiser. On s'est installé ensemble, dans un appartement plus grand que mon précedent. J'y ai vécu les plus belles années de ma vie, en passant les quartenaires grâce à l'aide financière de mes parents. La vie me souriait enfin, j'ai même réussi à aller jusqu'au second diplôme. Laura m'a prévenue que le bébé arrivait, alors que j'étais en cours. Après une perte de conscience en classe, je me suis précipité jusqu'à l'hopital. Je vous laisse imaginer la scène d'un mec qui cours comme s'il était poursuivi par une meute de loup affamée. Jusque là, je n'avais jamais été heureux, mais Laura et Félix m'ont donné envie de vivre . Mais ma vie a décidé que j'avais eu assez de joie pour le moment,et Laura a demandé à ce qu'on se sépare il y a 6 mois. Dans ma tête, j'éspèrais avoir la garde alterné, mais Laura refusa, elle refuse même que je vois mon propre fils... Aujourd'hui, je suis un misérable professeur d'histoire, de retour dans son studio, qui se bat avec la justice pour avoir la garde de son enfant.