Nom : Brilland Prénom(s) : Lucrèce Thessalie Age apparent : Réelle voyons! Age réel : 32 ans Statut civil : Réelle Métier :Propriétaire des fabriques d’ameublement ‘’Delacour-Brilland’’ situées au Sud d’Edernys Sexualité et statut: Mariée, mère de famille et libertine Lieu d'habitation :Principalement au manoir familial, au Centre. Mais cela dépend à la vérité de ses obligations ou de ses envies : l’on peut la retrouver aussi bien dans son studio à l’Est -très pratique pour ses virées nocturnes au Quartier latin- qu’à la Campagne, où elle s’est récemment acheté une villa histoire de s’y retirer en Eté avec ses domestiques et sa petite fille tandis que Monsieur s’en reste à la maison…
Description physique : Oui, Lucrèce est superbe. C’est indéniable. Peut-être un peu trop petite à son gout (1m60 environ) mais elle a de quoi être fière de son corps et de son allure : port de tête princier, taille fine en dépit de sa maternité, teint diaphane, soigneusement entretenu et protégé des méfaits des rayons du Soleil à longueur de journée – ressembler à l’un de ces sauvages d’ouvriers, avec leur peau craquelée, desséchée et racornie ? Grands dieux non merci !- mains de pianiste, satinées, délicatement parfumées au moyen de crèmes et pommades couteuses. Avec cela, une gorge conséquente dont elle n’a pas à rougir, merveilleusement mise en valeur par des corsages et décolletés prononcés juste ce qu’il faut pour attirer les regards de ces messieurs et surtout un visage charmant. Certes, le regard bleuté de Madame est souvent hautain voire glacial ; mais comment diable résister devant ses sourires avenants, quoique ironiques, ses mimiques mondaines, face à ses longues mèches blond cendré qui, une fois déliées –ce qui n’arrive que très rarement, Madame préférant les chignons tressés afin de ne pas être gênée dans ses mouvements- lui arrivent au niveau des omoplates ? Impossible ! D’autant qu’elle fait si jeune pour son âge…à croquer donc, sans modération…
Le caractère
Nice to meet you...
Egoïste, excentrique, egocentrique, caractérielle, passionnée, frivole, mante religieuse….Lucrèce parait cumuler une bonne partie des vices connus en cette ville, et c’est tant mieux : mondaine et fière, Madame aime faire parler d’elle et ne s’en prive pas. Que ce soit par le biais des articles de ses fabriques, de ses conquêtes d’un soir ou tout simplement au détour d’une conversation, tout est bon pour se mettre en valeur et briller de mille feux, domaine dans lequel il faut bien l’avouer, Madame excelle tout particulièrement. Il faut dire qu’elle ne manque pas de moyens pour se faire : à la tête d’une des plus grosses fortunes d’Edernys, cette dernière peut en effet se permettre bon nombre de folies à faire tourner les têtes de ces dames. Preuve avec les réceptions somptueuses à son image, qu’elle donne occasionnellement en son humble demeure ; preuve aussi et surtout avec le salon qu’elle tient chez elle tous les mercredis, lieu de rencontres privilégié de la crème de la crème de la cité où autour d’un thé, l’on vient discuter, se prélasser tout en admirant les nouvelles créations fraichement produites par ses fabriques d’ameublement. Ah oui, Lucrèce est une précieuse, à la fois dans ses habitudes et dans son langage : sortir sans chapeau et gants un jour de grand soleil serait pour elle la pire chose qui puisse lui arriver, en dehors de problèmes économiques ! Et ne parlons même pas de paraitre dépareillée en société ! Madame tient à son image : et nombreux sont ses domestiques à avoir fait les frais de ses foudres pour un meuble mal lustré, une robe froissée ou pire encore des bottines tachées!
Cependant, Madame est loin d’être une sotte se contentant de glousser bêtement devant son miroir ou se complaisant dans sa fortune : c’est avant tout une femme d’affaire, consciente de son patrimoine, bien décidée à le maintenir, l’accroitre et le gérant….avec une main de fer dans un gant de velours. Inspection de ses usines, choix des matériaux, comptes…rien ou presque n’échappe à son contrôle. Possessive, il lui faut tout contrôler, tout savoir, tout gérer. De toutes les façons, comment diable faire confiance aux incompétents qui sont sous ses ordres ? Cependant, cette possessivité maladive engendre un grave problème chez Lucrèce à savoir la réification. Toute chose ou personne à son service lui appartient. Elle peut en user à son gré, seule capable de prendre des décisions pour eux, seule en mesure d’avoir un jugement juste, seule enfin à avoir les compétences requises. Et gare à celui ou celle qui s’élèverait contre elle ! Si Madame paye grassement ses employés, ce n’est certainement pas pour qu’ils osent donner leur avis (sauf cas extrême, n’exagérons pas tout de même !) : auquel cas, elle saurait s’en débarrasser…avec classe et discrétion…ou pas, cela dépend des cas….
Cette possessivité se manifeste également dans le mécénat qu’elle exerce. Lucrèce en effet est une jeune femme cultivée, férue de littérature et d’arts en tous genres, une grande curieuse que les dernières innovations intéressent au plus haut point. Riche et passionnée comme elle l’est, pourquoi donc ne pas en faire profiter certains ? Oh bien sûr, encore faut-il que la création plaise à Madame et que bien sur l’artiste accepte de parader souvent dans ses salons ou, il faut bien l’avouer, elle a trop tendance à mettre en avant son rôle de la plus haute importance en termes très fleuris. Mais qu’importe, elle a les moyens non ? Et l’on sait pertinemment que l’argent fait tourner le monde…
Attention cependant. Lucrèce n’est pas un tyran. Une peste oui, de premier ordre, c’est certain, prête à tout pour parvenir à ses fins, assez cruelle d’ailleurs avec ceux qui la déçoivent ou qu’elle déteste (d’ailleurs si elle ne supporte pas quelqu’un, attendez-vous à ce que ce soit pour la vie, parce qu’elle est bornée !). Une folle à lier, abonnée aux plaisirs, aux cancans, aux sarcasmes, aux colères foudroyantes à tel point qu’elle peut parfois sembler particulièrement ridicule. Mais à la vérité, c’est une femme seule qui n’a pour unique compagnon que son piano. Ou plutôt ses pianos, puisque qu’elle en possède trois, répartis dans chacune de ses demeures. En jouer pour elle est un moyen d’exprimer ses peurs, ses angoisses, ses colères. En public, la Lucrèce excessive, maniérée. En privé, confinée dans de petites chambres insonorisées, la Lucrèce plus sensible, secrète, un brin rêveuse. Interdiction à quiconque d’y entrer sans son autorisation, exception faite pour sa fille, Victoria, qu’elle prend de temps en temps avec elle pour partager un moment de tendresse (Enfin, bien sûr, tant que la petite ne s’agite pas trop et ne lui donne pas la migraine !) ou de rares privilégiés, des gens avec qui elle pourrait se sentir en confiance. Son opinion concernant le gouvernement ? Grands dieux ! Ses membres ont de ces idées saugrenues parfois ! Par exemple, ces transports en commun : a-t-on simplement idée de la poussière et de la sueur que cela engendre, sans compter cet affreux mélange avec des individus de la pire espèce ? Enfin, il faut de tout pour faire un monde…Quant aux Irréels, eh bien, moui, l’idée est fort belle. Des êtres créés de toutes pièces par la pensée, voilà qui est fascinant ! Jugez ce que l’on pourrait faire avec eux ! Ce serait d’un avantageux pour les propriétaires comme elle ! De là à leur accorder les mêmes droits que les citoyens…Allons bon, autant autoriser aux animaux à entrer au gouvernement ! Ce sont des objets, doués d’une enveloppe charnelle, de la parole et de la pensée, forts sympathiques mais des objets. Autant qu’ils se rendent utiles tels qu’ils sont pour le bien de tous, cela causerait bien moins de problèmes !
L'histoire
I'm a legend...
Monsieur Delacour, détenteur des très célèbres usines d’ameublement fondées par son grand-père espérait un garçon. Manque de bol, ce fut une fille qui pointa le bout du nez en cette froide journée de Février. Inutile d’espérer un autre enfant : Monsieur était déjà assez âgé, Madame de santé fragile, guère disposée de surcroit à risquer sa vie pour un autre bambin. A lui de se débrouiller avec ce qu’il avait pour faire prospérer l’héritage familial, en l’occurrence Lucrèce. Aussi la petite fut-elle très tôt mise en contact avec le monde des usines, consciente de sa valeur et de son patrimoine, en plus d’avoir droit à une éducation des plus soignées. Les meilleures écoles du Centre, où elle excella principalement dans les lettres et les maths, mais surtout des précepteurs dans nombre de domaines, comme la musique. Le piano en particulier, qui devait conserver une place chère à son cœur tout au long de son existence. Peut-être parce que c’était là un excellent moyen, plus secret, plus discret encore que ces journaux intimes dont l’on peut être friand, de se livrer et de donner libre court à sa rage. Elle parvint même une fois à en briser des cordes, ce qui lui valut les foudres de son père qui fit réparer l’animal avec en partie son argent de poche ! Très sévère d’ailleurs, ce père. Très droit. Mais bon gestionnaire, qui lui apprit à ne jamais se reposer sur ses lauriers. Si elle tenait à toujours vivre dans le luxe, à elle de faire en sorte de gagner plus et honnêtement s’il vous plait ! A la loyale ! Enfin, avec tous les coups bas que le métier peut comporter hem hem…breeef, continuons voulez-vous ?
Après de forts bons résultats en tertiaires, Mademoiselle opta pour des études de gestion et de commerce, o combien utiles pour prendre la relève si jamais son père devait décéder prématurément, Madame sa mère n’ayant jamais eu ni l’intention ni le gout de diriger l’entreprise familiale, préférant se concentrer sur ses parties de bridges avec ses amies ou encore sur ses lectures, dans sa bibliothèque personnelle. (A noter que c’est grâce à Madame Delacour que la petite pris gout aux salons et autres divertissements si caractéristiques de la haute) cet effet, Monsieur lui acheta le studio, à ce jour toujours aussi utile pour ses virées nocturnes dans le Quartier Latin. C’est qu’il était hors de question pour la demoiselle de se souper des allers retours en permanence entourée de ces….citoyens de seconde zone !
Lucrèce en profita d’ailleurs amplement pour faire la folle. Nombreux sont ceux qui au Centre, se souviennent encore de ses frasques amoureuses avec toutes sortes d’individus, parfois pas des plus fréquentables, sans pour autant que cette dernière se détournât de ses études, qu’elle réussît au passage avec brio, décrochant à vingt-quatre ans le second diplôme décerné après ces six ans de dur labeur ! Ah ! La fureur de Monsieur ! Grondant, ronchonnant, tonnant à tout bout de champ, sans résultat ! La bonne société en fit des gorges chaudes durant des semaines, jusqu’à ce qu’un évènement attirât soudainement son attention : quel évènement ? Mais la faillite des usines Brilland, pardi ! Comment, vous n’êtes pas au courant ? L’on en parle encore dans les cercles bourgeois ! Les Brilland, propriétaires d’usines de textiles, avaient fait des placements qui s’étaient au final révélés désastreux !
Ils étaient à deux doigts de fermer boutique quand Monsieur Delacour et sa fille, associée depuis peu –et nonobstant ses frivolités- à la direction des usines, décidèrent de racheter leur empire ! Mieux encore et ce fut une idée de Mademoiselle : histoire que la pilule passât mieux, pourquoi pas une alliance avec le fils ainé de la famille, Aristide ? Après tout, il était beau garçon, un peu niais certes mais promis à une belle carrière politique et Lucrèce après tant de bêtises sentait bien qu’elle devait se ranger…du moins en apparence. Et cela donnait l’impression que les usines restaient dans la famille, ce qui apparaissait comme l’acte le plus noble qui fût !
La proposition fut, l’on s’en doute bien, accueillie des deux côtés on ne peut plus favorablement et le mariage se déroula en grandes pompes quelques mois plus tard. Pensez donc ! Une union de la sorte, cela se fête et comment ! Cependant, cela ne changeât pas grand-chose à la vie de Lucrèce. Monsieur faisait et fait sa vie, Madame la sienne, les époux se vouvoient avec pour seul gout commun le théâtre et encore : alors que Monsieur aime la tragédie, Madame préfère la comédie. Monsieur travaille avec passion au gouvernement, occupant une position modeste mais confortable, Madame préfère se charger de son empire, qu’elle gère seule depuis la mort de son père survenue quatre ans auparavant. Juste avant la naissance de sa fille, Victoria. Encore une fille quelle ironie ! D’ailleurs, quelle histoire cet accouchement ! Epouvantable ! Hors de question d’y repasser, un seul enfant suffit amplement ! Et puis cela fait tellement de bruit, donne des migraines monstrueuses, froisse les vêtements….non non, une fille, c’est très bien comme cela. Les domestiques s’en occupent la plupart du temps ce qui lui permet de se charger d’affaires beaucoup plus importantes que les babillages enfantins. Mais il faut bien avouer que l’enfant est mignonne, polie et que cela fait de l’effet en société…un bon point pour gagner en réputation donc… Quant à Madame sa mère, il y a près de deux ans qu’elle a rendu l’âme. Pauvre petite nature, emportée si jeune par la maladie.
Enfin, ce n’est pas un mal. Faire du profit se fera sans elle…Car l’empire Delacour-Brilland prospère, menaçant ses concurrents, produisant des milliers de produits d’excellente qualité par mois. Et l’appétit de Madame, c’est bien connu est sans limites….en espérant que ces Irréels, ces créatures virtuelles inventées voilà un an, ne viennent pas contrecarrer ses ambitions…
Et sinon?
Pseudo : Axia Age : Vieille et croulante... Personnage sur l'avatar : Béatrice de Umeniko Comment as-tu connu le forum : Simple: veni, vidi, vici Une dernière chose à dire ?Un DC. Oui, je suis folle. C’est confirmé. Et je vous aime :3
Caleb StainDate d'inscription : 20/02/2013 Messages : 771 Age : 30 Fiche de présentation : Coucou Sexe :
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Habitation : Sur la route Sexualité : Inderterminée pour l'instant Métier : Révolutionnaire? Humeur : Énervé.
Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy... Jeu 18 Juil - 22:24
Vous avez été très vilaine chère Lucrèce, vous m'aviez promis une courte fiche et que vois-je, en tout sept minutes de lecture? Pour la peine vous serez châtiée, mais pas maintenant, pour l'instant je vous valide... Mais que cela ne se reproduise plus!
Bienvenue parmi nous Madame Lucrèce Brilland
Lucrèce T. BrillandDate d'inscription : 18/07/2013 Messages : 161 Age : 31 Fiche de présentation : Enchantée cher ami... Sexe :
Féminin
Habitation : Centre d'Edernys Sexualité : Mariée mais libertine Métier : Propriétaire des fabriques d'ameublement ''Delacour-Brilland'' Humeur : Mondaine
Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy... Jeu 18 Juil - 22:26
Oh merci mon cher ami * Lui prend élégamment le bras* je vous promet de ne pas être sage. Vous avez ma parole :3
Cyrius BerkamDate d'inscription : 20/02/2013 Messages : 2340 Age : 33 Fiche de présentation : Pour en savoir plus sur Cyrius Sexe :
Masculin
Habitation : Dans des môtels dans un peu tout Edernys Sexualité : Avec Ismahen. Métier : Retraité forcé. Humeur : Tendu & harassé
Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy... Ven 19 Juil - 11:24
Sacrée Lucrèce. Je crois que je vais souvent t'envoyer Cyrius.
Félicitations pour ta validation =w=
(et franchement, malgré la longueur, j'ai super bien lu ta fiche (oui, aussi vite qu'il m'était possible, c'est à dire, LENTEMENT escargot spotted)
Habitation : Provisoirement à Alrun, chez Eylin Berkam Sexualité : Hétéro au cœur brisé Métier : Aucun (anciennement maquerelle et trafiquante de drogues associée à son frère) Humeur : Anxieuse
Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy... Ven 19 Juil - 11:32
Je crois que c'est indéniable, Valentina a trouvé son maître !
En tout cas félicitations pour ton DC ma belle, hâte de te voir la jouer !
Aemilia F. O'AodhanDate d'inscription : 20/02/2013 Messages : 1365 Age : 31 Fiche de présentation : Let's meet here will ya? Sexe :
Féminin
Habitation : Une petite maison en campagne Sexualité : Hétéro, maman Métier : Capitaine de l'armée d'Edernys Humeur : Troublée
Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy... Ven 19 Juil - 11:42
*Caline et envoie des bisous sur tout le monde* Je vous aime les filles <3 <3 (Et ma chère Rascasse, ce sera quand tu voudras :3 On est toujours bien avec Lucrèce :3 )
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Sujet: Re: Lucrèce T. Brilland -Perfect isn't easy...