Nom : Saïk Prénom(s) : Rédordil Age réel : 25 ans Statut civil : Réel Métier : Compositeur de musique Sexualité et statut: Homosexuel en quête du grand amour Lieu d'habitation : Un appartement dans le Quartier Nord

Description physique : ♣ Un charmant génie ♣ Saïk a de cheveux noirs cascadant sur sa nuque. Il n’est pas petit sans pour autant être spécialement grand (1,75 m). Ses yeux sont bleus très clairs, il aime les comparer à des émeraudes. Pourquoi un tel manque de logique ? Juste parce qu’il aime les comparaisons étranges. Il est assez fin dans sa silhouette et ses mains sont celles d’un pianiste, ce qui tombe bien car c’est l’instrument qu’il préfère. Il porte le plus souvent un costume trois-pièces blanc avec des mocassins noirs quand il travaille au conservatoire. Quand il est chez lui, il porte un t-shirt à manche courte sur un t-shirt à manche longue, un pantalon de tissus basique et des chaussons en forme de petits lapins verts, il les compare souvent à des pensées, encore les comparaisons bizarres.

♣ Le génie illuminé ♣
Saïk est d’ordinaire un homme calme et charmant. Souriant et aimable, beaucoup de gens l’apprécient. Il est honnête envers les gens et n’hésite pas à leur dire la vérité tout en évitant de les blesser. Même s’il lui arrive de devenir imbuvable quand il se met à parler de son génie, les gens viennent naturellement à lui. En dehors de ses comparaisons sans queues ni têtes, il est assez normal dans son mode de pensée.

Cependant, dès qu’il se met à composer, il est une toute autre personne. Il entre dans une sorte d’état second, il parle alors extrêmement vite sans détacher les mots et fait de grands gestes. Il utilise également de nombreuses expressions musicales pour illustrer ses propos et ses interlocuteurs se perdent car ils n’arrivent plus à différencier son discours de ce qu’il compose.
Lorsqu’il a des éclairs d’inspiration, il arrête tout ce qu’il fait et commence à composer. Il ne s’arrête pas tant qu’il estime ne pas avoir terminé son œuvre. Dans ces situations-là, il ne dort plus, mange et boit à peine ce qui lui a déjà valu deux séjours à l’hôpital.

Il vénère presque le gouvernement car il protège les citoyens, leur permet de vivre en sécurité ainsi que de se déplacer librement et de mener la vie qu'ils veulent.

Pour lui, les Irréels sont l’essence absolue de l’art car ils sont produits directement par l’esprit. Il aimerait en créer un, mais il a une terreur absolue des aiguilles.
Il pense cependant que, bien que leur recensement soit légitime, les tatouer est manquer de respect envers le concepteur de l’œuvre d'art que ce pur produit de la psyché représente.



♣ Ainsi naquit le génie ♣
Saïk est le fruit de l’union d’Allen Rédordil et de Ludmilla Rédordil née Serelina, tous deux habitants du  Quartier Ouest. La musique fit partie très tôt de sa vie, en effet ses parents étaient très amateurs des chants d’opéras et des symphonies. Quand il eut cinq ans, il voulut apprendre le piano, ses parents acceptèrent et il révéla plus qu’un don, mais un véritable génie pour la musique. Il n’eut bientôt plus besoin d’apprendre à jouer et il composa son premier morceau à sept ans.

Bon élève en primaire et en secondaire, il commença à songer à s’orienter vers une carrière musicale. Ses parents l’encourageant sans cesse, ils lui payèrent une école dans le Quartier Nord où il s’installa dans un appartement en location. Pour subvenir à ses besoins au cours de son tertiaire, il travailla comme pianiste de bar.

Quand il sortit des études, il avait composé quelques œuvres qui lui avaient taillé une réputation qui l’avait précédé. Il trouva rapidement un publique pour ses compositions, dans lequel il compter ses parents. Il leur envoie de temps en temps des compositions originales qui ne seront jamais publiées.